analyse

Les nouvelles féministes sont-elles malpolies ?

Accuser les militants féministes ou antiracistes d'être colériques ou excessifs relève d'une vieille posture rhétorique : la pratique du «tone policing» («polissage du ton») consiste à discréditer une idée car exprimée de manière trop véhémente. Au point de nuire à toute forme d'expression minoritaire ?
publié le 6 août 2020 à 11h09

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