Interview
Pascal Dibie : «Comment toute une partie de l’humanité accepte-t-elle de passer ses journées assise sur une chaise de bureau ?»
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Le confinement a montré combien le bureau, par son absence, hante nos existences. Dans une brève histoire de l’objet et du lieu, l’ethnologue montre que la position assise pour travailler est douloureuse et loin d’être universelle. Alors on se lève ?