Chronique «Philosophiques»

La mort, c’est pour les autres

Que l’on ne s’y trompe pas : la soudaine vulnérabilité de Trump n’en est pas une. A l’inverse des millions de personnes contaminées sous sa responsabilité, il a pu bénéficier des meilleurs soins.
publié le 8 octobre 2020 à 18h41

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