Le cahier Livres de Libé

Dans «le Jardinier et la mort», l’écrivain fait le portrait de son père, homme «fier, ombrageux, robuste, grand, beau et susceptible» et inventeur de mots.

Dans «Détruire tout», l’auteur épluche les motifs et l’environnement d’un féminicide en Suisse rurale dans les années 60.

Entretien avec l’autrice américaine dont le deuxième roman, «le Compromis de Long Island» porte sur l’argent, la famille, le traumatisme.

Rencontre autour de «l’Histoire de Marie-Thérèse», la pâtissière la plus connue de Trouville qui fut aussi l’amie de Marguerite Duras.

A travers la relecture des écrits de l’explorateur Bougainville et du philosophe Diderot sur l’île polynésienne, l’historien Antoine Lilti démonte la fiction de réciprocité entre Européens et colonisés.

Le romancier relie ses fascinations plurielles, d’une carcasse échouée sur la côte normande aux élans révoltés de la jeunesse des black blocs.

Sa maison faisait la part belle à la littérature prolétarienne. Après sa mort le 18 octobre, deux pairs lui rendent hommage.

Au tournant des années 2000, l’autrice américaine retranscrit ses échanges avec son thérapeute. «Notes à John», ouvrage posthume, permet d’explorer ses relations avec sa fille et son mari, l’écrivain John Gregory Dunne.

Un garçon de 12 ans délaisse le manoir de son aïeul pour découvrir une ville inconnue, un récit pensé comme un voyage initiatique.

Dans un préquel à sa «Trilogie du rempart sud», l’Américain Jeff Vandermeer rajoute de nouvelles expéditions dans la mystérieuse Zone X.

Après «la Femme de ménage» ou «la Psy», l’autrice américaine publie un thriller trépidant comme un épisode de «Melrose Place» situé dans l’univers des applis de rencontres.

Une enfance cinéphile dans les années 70 puis ses prolongements à Paris, New York et Berlin.

L’épopée d’un migrant soudanais ou la dérive chaotique d’un héros survolant de sa hauteur d’âme le monde réel à défaut de pouvoir l’habiter.

Un ravin sur une route d’Espagne, une fille prête à brûler son foulard en public, un ami maori, un père qui se dresse sur son lit et les notions de «société ouverte» et «société close».

Le penseur, résistant et communiste excommunié, époux pendant dix ans de Marguerite Duras, avait laissé à sa mort des carnets manuscrits. Ils sortent vingt-huit ans plus tard sous le titre «Je suis ce qui me manque».

Les années denses d’engagement n’apparaissent pas dans les carnets du penseur, résistant et communiste, qui fut le mari de Marguerite Duras.

Les nouvelles de l’autrice circulent, comme dans ses précédents livres, entre des rivières aux eaux troubles, parfois sanglantes : celles de la réalité, celles du fantastique.

Le romancier raconte la métamorphose et la vengeance d’une adolescente des Pyrénées, mise au ban parce que lesbienne et alliée à ses «sœurs-les-montagnes».

Fantasmagories et amours fin de siècle autour d’un chapiteau.

Publication du vingt-cinquième album du héros de l’artiste belge, avec des maximes, des devinettes et «de vrais dessins des vrais débuts dans le Soir», en 1983.

Archétype de la mauvaise mère, la figure repoussoir du roman paru en 1948 est-elle la victime d’une vengeance littéraire, orchestrée par un auteur aux mille turpitudes ? L’hypothèse est au cœur de l’enquête de la journaliste de «l’Express».

L’anthropologue affirme que l’évolution récente des hommes dans leurs rapports aux enfants n’est pas que culturelle mais s’appuie aussi sur des fondements biologiques.

L’auteur allemand chronique la révolution des mœurs survenue durant la République de Weimar, où émancipation de la femme et acceptation de l’homosexualité ont réussi à s’imposer malgré un marasme économique mortifère.

Dans «la Condition d’écrivain», l’historien américain revient sur certaines carrières d’«écrivassiers» et fournit une typologie précise du milieu littéraire. Cet essai conclut cinquante ans de recherches.

Un Sisley volé par les nazis, un champion de tennis frappé d’infamie, un slalom entre honte et tabous, un réquisitoire mâtiné d’ironie sur Vichy et les ruptures anthropologiques entraînées par l’IA.

«Un peu d’être» est autant un art poétique qu’un portrait de l’artiste au travail.

Le poète et romancier marseillais redonne voix aux «enfants-mutins» morts au bagne de l’île du Levant au XIXe siècle.

L’enquêtrice de l’auteur britannique renonce à son pot de retraite pour élucider une affaire de meurtre dans le gratin ultraconservateur.

Rencontre avec l’autrice de «Vertu et Rosalinde», recueil d’histoires brèves dont la narratrice est tantôt enfant tantôt adulte, et où l’on croise un Hamlet un peu paresseux et un fâcheux, ancien camarade de lycée.

Manu Larcenet a dessiné le scénario d’une nouvelle aventure de Jack Palmer, laissé derrière lui par René Pétillon mort en 2018.

L’amant mystère et la femme invisible : «Petite robe noire & collier de perles» est un roman déstabilisant comme peut l’être «Hors-bord» de Renata Adler.

Peur, érotisme et mafia dans un huis clos de l’écrivain turc.

Entretien avec la romancière haïtienne qui, dans «Passagères de nuit», romance son histoire familiale à travers deux portraits de femmes au XIXe siècle.

Une épopée à travers les continents, jusqu’à l’Orénoque, dans une langue lyrique, opulente, imagée, colérique.

Chaque semaine, «Libération» passe en revue l’actualité du livre jeunesse. Aujourd’hui, un superbe journal de bord d’un bébé, de sa naissance à ses 3 ans.

Paru il y a cent ans, enfin traduit, «Monts mers et géants» explore l’évolution de la société, de la technologie et des structures de pouvoir à travers les siècles.

Un homme assommé, un courtier, des squatteurs anarchistes... l’autrice interroge la capacité du langage à être manipulé dans une Angleterre en pleine crise du Covid.

La lignée vengeresse de la romancière qui écrit «J’aimais, j’aime ma mère, d’un amour presque gênant».

Dans un récit ancré dans l’histoire de sa propre famille du Vietnam à la Californie, l’écrivain revisite ses liens avec les Etats-Unis.

Un portrait de militants de l’océan tentant de combattre les groupes de pêche industrielle.