Élections américaines de 2024

Président très impopulaire, plombé notamment par l’inflation, Joe Biden laisse pourtant derrière lui un bilan intérieur fourni, mélange de mesures immédiates et d’investissements massifs, dont les effets commencent juste à se faire sentir.

Avant l’investiture de Trump le 20 janvier, notre correspondant traverse les Etats-Unis du Sud au Nord et chronique les espoirs et les craintes d’Américains suspendus entre deux présidences que tout, ou presque, promet d'opposer.

A deux jours de son investiture, des milliers d’Américains ont participé samedi 18 janvier dans la capitale fédérale à une marche «du peuple» contre Donald Trump. Dans un mélange de tristesse, de colère froide et de détermination.

A Washington, où 43 % des employés travaillent pour le gouvernement, les fonctionnaires craignent l’arrivée de Donald Trump au pouvoir. Il a menacé de supprimer des milliers d’emplois et compte faire régner un climat d’intimidation.

Depuis trois ans, tous les soirs, une veillée se tient sous les murs du centre de détention où sont enfermés plusieurs des insurgés du 6 janvier 2021, persuadés qu’ils seront libérés par Donald Trump dans trois jours.

Jusqu’à la veille de l’investiture de Donald Trump le 20 janvier, notre correspondant traverse les Etats-Unis et chronique les espoirs et les craintes d’Américains suspendus entre deux présidences que tout, ou presque, promet d'opposer.

Jusqu’à la veille de l’investiture de Donald Trump le 20 janvier, notre correspondant traverse les Etats-Unis et chronique les espoirs et les craintes d’Américains suspendus entre deux présidences que tout, ou presque, promet d'opposer.

Jusqu’à la veille de l’investiture de Donald Trump le 20 janvier, notre correspondant traverse les Etats-Unis du Sud au Nord et chronique les espoirs et les craintes d’Américains suspendus entre deux présidences que tout promet d'opposer.

Jusqu’à la veille de l’investiture de Donald Trump le 20 janvier, notre correspondant traverse les Etats-Unis du Sud au Nord et chronique les espoirs et les craintes d’Américains suspendus entre deux présidences que tout promet d'opposer.

Jusqu’à la veille de l’investiture de Donald Trump le 20 janvier, notre correspondant traverse les Etats-Unis et chronique les espoirs et les craintes d’Américains suspendus entre deux présidences que tout, ou presque, promet d’opposer.

Le président américain, qui avait passé la main à Kamala Harris, a refait le match dans une interview ce mercredi 8 janvier, tout en admettant ne pas savoir s’il aurait pu aller au bout d’un second mandat.

A deux semaines de rendre avec amertume les clés de la Maison Blanche à Donald Trump, le président démocrate a déjà commencé à s’effacer tout en cherchant à parachever son legs à l’histoire.

L’essentiel des informations à deux semaines de la passation de pouvoir entre Joe Biden et Donald Trump.

Soutenu par le président élu mais confronté à une défiance frondeuse dans ses rangs, le très conservateur représentant de Louisiane a finalement su fédérer la majorité républicaine pour retrouver la présidence de la chambre basse du Congrès

La dynamique du retour de Donald Trump et des républicains au pouvoir à Washington connaît vendredi un premier test avec la réélection incertaine du «speaker» Mike Johnson par la courte majorité conservatrice à la Chambre des représentants.

Six ans après la politique de séparation des familles menée par Donald Trump, la crainte des expulsions massives et de nouvelles violations des droits humains plane sur son second mandat, malgré des garde-fous juridiques.

Inquiète des représailles promises par le futur président à l’encontre de ses opposants, la Maison Blanche considère des grâces préventives par Joe Biden. Un débat accéléré par la nomination de l’extrémiste Kash Patel au FBI.

Depuis sa cour de Mar-a-Lago, le président élu dessine un cabinet aux contours idéologiques confus pour son retour à Washington.

Depuis sa victoire, le républicain a effectué de nombreuses nominations à des postes plus ou moins importants. Le CV de beaucoup de ces impétrants ne les destinait pas vraiment à occuper des responsabilités dans l’administration fédérale.

Agée de 33 ans, Jay Graber est à la tête du réseau social Bluesky, l’alternative à X ayant passé la barre des 20 millions d’utilisateurs cette semaine. Portrait de la Sino-Américaine, fascinée par la décentralisation du web.

Avec l’inévitable report du prononcé de sa peine après sa condamnation criminelle à New York dans l’affaire «Stormy Daniels», l’ex-président réélu voit se desserrer un peu plus l’étau d’un système judiciaire qu’il aura su déjouer.

L’essayiste américain revient sur le réalignement politique des classes sociales dans leur rapport aux partis, que l’élection de Donald Trump a parachevé et clarifié.

Le succès du milliardaire ne tient pas au seul vote des évangéliques. Le président élu a su construire une coalition multiethnique de blancs, d’Hispaniques et d’Asiatiques qui rivalise avec la vieille coalition pluriethnique des démocrates.

Soupçonné d'orgies impliquant une mineure, le choix très controversé du président élu a dû renoncer jeudi 21 novembre à sa nomination. II a été presque aussitôt remplacé par l'ex-patronne de la justice floridienne Pam Bondi.

Au prétexte d’une lutte radicale contre la «bureaucratisation», les géants de la Tech aux positions libertariennes, Elon Musk en tête, affirment leur alliance avec la droite conservatrice la plus dure.

Annonciatrice de purges massives dans tous les pans de l’Etat, l’élection de Donald Trump symbolise la victoire de l’«illibéralisme» dans la démocratie. Un écran de fumée vers l’autoritarisme.

Tentative de définition de cette bien-pensance dite progressiste qui, après avoir facilité l’élection de Trump, pousse la gauche française à dénoncer et à proscrire.

Pour l’américaniste Anne Deysine, le parti démocrate doit opérer une sérieuse remise en question, s’il veut survivre. Les deux victoires de Trump, en 2016 et 2024, ne sont pas des hasards.

Sous Donald Trump, Brendan Carr devra s’attaquer aux géants de la tech en prenant la tête de la FCC, une agence qui pourtant n’a pas le pouvoir de réguler les Gafam.

A Paris, quelques jours après l’élection de Trump, l’essayiste star de la gauche nord-américaine alerte dans son nouveau livre sur le «monde miroir» dans lequel nous avons tous glissé via les réseaux sociaux.

La romancière américaine qui œuvre à la protection des espèces menacées au sein d’une ONG en Arizona a répondu aux questions de «Libération» quelques jours après l’élection de Donald Trump,

Face à la perspective du retour du milliardaire revanchard à la Maison-Blanche, certains anciens officiels, qui se sont opposés à lui par le passé, envisagent des mesures drastiques pour protéger leur avenir.

Dénué d’expertise médicale mais riche d’un passif conspirationniste aux conséquences déjà graves, RFK Jr est rétribué de son soutien à la campagne de Donald Trump par une nomination à la tête des politiques sanitaires des Etats-Unis.

Depuis l’élection, X voit médias et comptes influents le quitter au profit de Bluesky. Surtout, la nomination de son propriétaire Elon Musk au rang de ministre inquiète : le réseau devient-il définitivement un organe de propagande ?

Controversé jusque parmi ses collègues républicains, l’élu de Floride a été choisi pour conduire le projet revanchard du président élu à la tête du ministère considéré comme crucial dans la future administration.

Le président élu a profité de sa réunion avec Biden à la Maison Blanche mercredi pour rencontrer des élus de la Chambre des représentants où les républicains ont pu rester majoritaires et poursuivre les nominations du futur gouvernement.

Après avoir reconquis le Congrès et la Maison Blanche, les élus conservateurs au Sénat se sont choisi le sénateur du Dakota du Sud pour nouveau chef de file. Un conservateur old school et ex-contempteur du président réélu, repenti depuis.

L’ex-candidat républicain Vivek Ramaswamy a été choisi par Donald Trump pour diriger aux côtés d’Elon Musk le «ministère de l’efficacité gouvernementale». De quoi former un binôme de milliardaires ultraconservateurs et surpuissants.

La nomination de deux très proches de l’Etat hébreu, Mike Huckabee et Steven Witkoff, à des postes importants dans la région laisse deviner une politique de la future Maison Blanche sous Trump encore plus pro-israélienne que sous Biden.

Depuis sa résidence en Floride, le 47e président des Etats-Unis compose à toute hâte sa future administration, dont les postes clés reviennent à des ultraconservateurs dévoués et à de grands patrons, Elon Musk en tête.