Le Grand Bivouac, festival du film-documentaire et du livre d'Albertville

Dans le minibus qui sillonne la campagne, les bouleversants témoignages de familles ukrainiennes condamnées à l’exil.

Dans «l’Etre et la Mer», Corine Pelluchon invite à quitter la terre ferme pour penser à partir de l’océan, élaborant un existentialisme marin avec l’écologie comme boussole.

Dans son « Journal d’une Ukrainienne », Maryna Kumeda nous livre un portrait personnel et sensible d’un pays bouleversé par les crises et la guerre.

Des détenus de la maison d’arrêt de Chambéry ou du centre de détention d’Aiton en Savoie décernent au Grand Bivouac d’Albertville un prix spécial.

Le livre d’Ismaël Khelifa, croisé au Grand Bivouac d’Albertville, raconte la rencontre d’un père avec son fils adolescent.

Rencontrés au Grand Bivouac d’Albertville, Stéphanie et Blaise Agresti nous font revivre le long chemin des femmes en montagne.

Le réalisateur François Damilano a accompagné l’alpiniste Sophie Lavaud lors de l’ascension de son quatorzième sommet de plus de 8 000 mètres. Il en a tiré un livre et un beau documentaire, «Sophie Lavaud, le dernier Sommet».

«Et si on levait les yeux», le documentaire de Gilles Vernet présenté au Grand Bivouac propose une réflexion à hauteur d’enfant sur l’addiction au numérique.

Trois expériences, trois histoires, trois témoignages. Un étonnant pas de côté offrant au public l’opportunité de traverser l’écran.

Le documentaire « We Are Guardians » nous plonge dans le quotidien des autochtones confrontés à la déforestation du poumon vert de la planète.

Films documentaires, débats, rencontres littéraires… L’édition 2024, du Grand Bivouac, du 14 au 20 octobre, rend hommage à celles et ceux qui résistent sous les bombes ou devant les périls environnementaux.

Avec « Le chant des pentes », Simon Parcot nous livre une nouvelle fable poétique et philosophique. A retrouver cette année au festival international du film de montagne d’Autrans.

Retour sur trois documentaires d’altitude à retrouver en octobre au Grand Bivouac d’Albertville.

Par Guy Chaumereuil, président fondateur du Grand Bivouac d’Albertville.

Balade avec l’écrivaine Clara Arnaud (que l’on retrouvera en octobre au Grand Bivouac d’Albertville) au cœur des Pyrénées ariégeoises, pays des ours, sujet de son dernier roman.

L’autrice Virginie Troussier retrace la vie d’un des pionniers français de l’Everest, alpiniste hors pair au parcours atypique. Elle sera présente au Grand Bivouac en octobre.

Ecrivain et grand reporter, Olivier Weber propose un riche «dictionnaire amoureux» de l’aventure.

Ecrire, dessiner, filmer, guider… Rencontres avec des amoureux des cimes qui racontent leur passion. Aujourd’hui, Simon Parcot, coauteur de «Carnet de Guides».

Journaliste, écrivain, alpiniste, Jean-Michel Asselin est un homme de montagne et de plume. Rencontre pour évoquer sa passion de toujours.

L’auteur Fabrice Lardreau présente les portraits intimes de scientifiques, écrivains, artistes, sportifs… fascinés par les montagnes.

Rozenn Le Berre fait le récit d’une rando en compagnie de trois jeunes aux parcours difficiles, une aventure à travers le massif de la Vanoise. L’autrice sera présente lors de la prochaine édition du Grand Bivouac d’Albertville.

Petit journal de bord d’un festival qui ne se passe jamais comme prévu.

Le dernier numéro de la revue nomade est consacré à l’Asie centrale. Un voyage au long cours hors du temps.

Le documentaire d’Eliza Kubarska suit une famille népalaise qui doit aider des Russes et Polonais à gravir la montagne de Kumbharkarna. Une mise en lumière de la vie de sherpa, souvent dénigrée par les alpinistes occidentaux.

Antoine Laurent, chargé de la programmation des documentaires du festival, revient sur leur sélection et l’angle choisi pour cette vingt-deuxième édition.

Dans son dernier ouvrage dense et superbement illustré, l’écrivain recense les pionniers des vols non motorisés, des expériences des frères Montgolfier aux wingsuits perfectionnées dans les années 90.

Retrouvez chaque mardi une chronique, une interview ou un portrait lié à un texte de science-fiction qui fait l’actualité. Cette semaine, une uchronie : et si l’expédition de Herzog et Lachenal avait rencontré un papillon ?

Avec son recueil de nouvelles, Marc Alaux nous fait partager le quotidien des nomades, moines, soldats, voleurs, artistes ou voyageurs qui hantent le désert de Gobi, les pics de l’Altaï ou Oulan-Bator.

Avec «Quand les montagnes dansent», le philosophe Olivier Remaud livre un bel essai, poétique et philosophique, sur les liens qui unissent les humains et le reste du vivant. Il sera présent lors de la prochaine édition du Grand Bivouac.

Amany Al-Ali est la seule femme caricaturiste de la zone libre syrienne et lutte quotidiennement pour témoigner des horreurs de la guerre et se faire un nom dans le milieu masculin du dessin.

Le documentaire nous attache au voyage intérieur de Franck Bruno, amputé d’une jambe ayant trouvé une renaissance dans le Grand Nord.

Une vallée de l’Ariège à travers les yeux d’un berger et d’une jeune éthologue dans «Et vous passerez comme des vents fous».

Ido Mizrahi raconte la mission spatiale qui prépare les astronautes à aller sur Mars : des mois sans leur famille, à mettre leur corps à rude épreuve, entre doutes et rêves d’immensité.

L’alpiniste Cédric Sapin-Defour se retourne sur treize ans d’idylle avec son bouvier bernois. Il sera présent au Grand Bivouac.

Par Guy Chaumereuil, fondateur du Grand Bivouac d’Albertville.

Jean-Sébastien Esnault, délégué général du festival du Grand Bivouac, nous détaille la philosophie de la prochaine édition qui se tiendra du 16 au 22 octobre à Albertville.

Dans un essai au style enlevé, Jean-Michel Asselin raconte les petites et grandes histoires de la montagne la plus célèbre du monde. L’auteur sera présent cet automne à Albertville.

Rencontre, à l’occasion de l’anniversaire de la première ascension il y a 70 ans, avec le guide népalais Tendi Sherpa, qui vient de gravir cette saison son quinzième «toit du monde». Il sera présent cet automne à Albertville.

Rongée durant la guerre civile, la réserve a été restaurée en trente ans grâce à l’apport d’un philanthrope américain.

A l’occasion d’une ascension de l’aiguille du Midi, Etienne Klein évoque son amour de l’alpinisme, qui lui procure «une joie indicible, celle d’être vivant». Le physicien et philosophe des sciences sera présent cet automne à Albertville.