Élections municipales 2026

Confiants dans leurs chances de victoire à Paris, Lyon ou Marseille, Les Républicains savent que la «vague bleue» promise par Bruno Retailleau passera par des alliances avec le bloc central.

Chef d’entreprise millionnaire et communicant rusé, l’ancien président de l’Olympique lyonnais, 76 ans, se lance dans la bataille municipale à Lyon à la tête d’une union de la droite et des macronistes, face au maire écologiste sortant.

Dans une lettre adressée aux Lyonnaises et aux Lyonnais, l’ancien président de l’OL a annoncé ce jeudi 25 septembre sa candidature aux prochaines municipales dans sa ville de cœur.

Une étude du collectif «Mères déters» compare les actions menées par quatorze communes pour les familles monoparentales, et démontre un accès inégal aux services essentiels.

Pas moins de quatre aspirants se disputent le créneau, espérant détrôner le maire écologiste sortant Pierre Hurmic lors du scrutin de mars.

Le député du Nord, Roger Vicot, a annoncé ce lundi 22 septembre qu’il renonçait à se présenter face au dauphin désigné par Martine Aubry, Arnaud Deslandes à la primaire PS prévue le 6 novembre.

Parachuté au printemps dans la ville des Alpes-Maritimes en vue des municipales 2026, le fils de Nicolas Sarkozy multiplie les sorties et les dîners avec les notables locaux pour se faire un prénom parmi les électeurs.

L’universitaire membre du Haut conseil des finances publiques, a déclaré sa candidature dans la course à la mairie de la cité girondine ce mercredi 17 septembre. Il récuse toute étiquette mais vient concurrencer des figures de centre droit.

Portée par une fragile alliance LR-macronistes et peu gênée de partager «des valeurs» du RN, la candidate croit à sa revanche sur la gauche, en dépit de l’enquête pour «détournement de fonds publics et trafic d’influence» qui la vise.

La part de femmes dans les équipes municipales a progressé de 2,3 points entre les élections de 2014 et de 2020, mais les hommes sont toujours ultra-majoritaires au poste de maire, révèle la Caisse des dépôts dans une étude sur la parité.

Le maire de Grenoble a été démis de ses fonctions au sein du bureau politique des verts mardi 16 septembre, à titre conservatoire, dans le cadre de l’instruction judiciaire ouverte contre lui pour «concussion» et «recel de délit».

Alors que plus d’un maire sur quatre ne souhaite pas se représenter aux élections municipales 2026, plusieurs jeunes élus pour la première fois il y a cinq ans évoquent leur expérience : difficultés, accomplissements personnels…

La présidente divers droite du conseil départemental des Bouches-du-Rhône et de la métropole Aix-Marseille-Provence a officialisé dans la soirée de samedi 13 septembre sa candidature aux municipales 2026.

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

La suppléante d’Aurélien Le Coq a été choisi, ce samedi 6 septembre, comme tête de liste pour les élections municipales de 2026 à Lille, face à l’écologiste Stéphane Baly et à un candidat socialiste pas encore désigné.

Ils font partie des visages montants de la politique française et demeurent pourtant méconnus du grand public. Chez Pol part à leur rencontre. Aujourd’hui, l’écolo et candidat de la gauche unie pour les municipales à Angers, Romain Laveau.

Ils font partie des visages montants de la politique française et demeurent pourtant méconnus du grand public. Chez Pol part à leur rencontre. Aujourd’hui, le rarissime candidat de la gauche complètement unie pour les municipales à Agen.

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Devant un parterre de fidèles au nord de la ville qu’il veut ravir à son ancien mentor Christian Estrosi en 2026, l’allié de Marine Le Pen a promis, ce dimanche 31 août, une nouvelle prison et de «restaurer l’ordre».

Deux jours après l’officialisation de la candidature de son meilleur ennemi aux municipales de Nice, le maire de la ville s’est employé vendredi 29 août à faire de cette entrée en campagne un non-événement.

Les adhérents Les Républicains de la fédération de Loire-Atlantique sont appelés aux urnes ce week-end pour départager deux candidats à la mairie de Nantes en 2026 et tenter de déloger la socialiste Johanna Rolland.

La ministre de la Culture a choisi de retirer sa candidature dissidente face à l’ancien Premier ministre dans la deuxième circonscription de Paris. Elle aurait en contrepartie le champ libre pour briguer la mairie en 2026.

Jouant la carte de l’enfant du pays, le député rallié au RN veut renverser son ancien mentor Christian Estrosi aux élections municipales de mars 2026. Et offrir la préfecture des Alpes-Maritimes à l’extrême droite.

L’annonce des dates de ce prochain scrutin a été formalisée lors du Conseil des ministres ce mercredi 27 août à l’Elysée.

Le fils de l'ancien président de la République et chroniqueur à Valeurs actuelles, a fait un pas de plus vers une candidature dans les Alpes-Maritimes selon une annonce publiée, mardi 19 août, au Journal officiel des associations.

Le conseil constitutionnel avait reçu trois recours contre la loi visant à réformer le mode d’élection des maires de Paris, Lyon et Marseille. Il a finalement décidé, ce jeudi 7 août, de ne pas censurer le texte.

Le Conseil constitutionnel doit se prononcer dans les prochains jours sur le texte, définitivement adopté jeudi 10 juillet, visant à réformer l’élection des maires de Paris, Lyon et Marseille. A gauche comme à droite, le texte est critiqué.

Depuis le 26 juillet, la ville est le théâtre d’un affrontement entre l’ancien patron de l’OL, futur candidat aux municipales, et le maire écolo, Grégory Doucet, sur fond d’accusation de flirt avec l’extrême droite.

Dans une interview parue dans «le Figaro» vendredi, la numéro 3 de LR, Annie Genevard, estime encore possible un accord entre son parti et la ministre de la Culture pour la législative partielle à venir dans la 2e circonscription de Paris.

En se portant candidate face à Michel Barnier, Rachida Dati se place dans une longue série de guerres civiles de la droite parisienne, commencée en 1977. «Libé» en retrace quatre moments particulièrement sanglants.

Le sénateur communiste, candidat à l’hôtel de ville de Paris lui aussi, voit dans la bataille actuelle entre la ministre de la Culture et Michel Barnier une raison de plus pour que la gauche avance unie vers la capitale.

Depuis plusieurs étés, des militants de La France insoumise sillonnent le pays pour inciter les «non inscrits» à rejoindre les listes électorales. A Metz, à quelques mois des municipales, l’opération prend des airs de campagne.

Avec un procès désormais certain pour corruption et trafic d’influence, la ministre accumule les polémiques à un an des municipales à Paris. La gauche n’a plus qu’à espérer que LR et la macronie la désignent comme tête de liste.

La candidate à la mairie de Paris a organisé lundi 21 juillet un «café politique» pour critiquer un Michel Barnier, soi-disant «instrumentalisé» par LR, pour la partielle de la 2e circonscription dans la capitale.

Offensif, le secrétaire général du PS Pierre Jouvet demande de la «cohérence» aux écolos pour les municipales et menace LFI pour des législatives anticipées.

La telenovela de la droite dans la capitale se poursuit avec le refus annoncé de la ministre d’accepter la décision de LR si l’ancien Premier ministre devait être investi pour l’élection législative partielle de la 2e circonscription.

La droite et la gauche sénatoriales, ainsi que les députés PS, ont déjà annoncé qu’ils allaient saisir les sages pour tenter de faire censurer le texte sur les scrutins de Paris, Lyon et Marseille.

La réforme du mode de scrutin de Paris-Lyon-Marseille, adoptée par l’Assemblée nationale ce jeudi 10 juillet, impose à la gauche plurielle de créer les conditions de l’unité majoritaire, fait valoir Ian Brossat candidat communiste à Paris.

Après un long parcours législatif, les députés ont voté ce jeudi 10 juillet une loi instaurant un double scrutin dans ces trois villes, revenant ainsi au droit commun. Ses opposants s’en remettent désormais au Conseil constitutionnel.

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.