Nucléaire iranien

Lors d'une opération dans la nuit de samedi à dimanche baptisée «le marteau de minuit», les Etats-Unis ont visé trois sites nucléaires iraniens, Fordo, Natanz et Ispahan, rejoignant ainsi l’offensive israélienne lancée le 13 juin.

Surpris par l’initiative militaire de Trump et partisans d’une ligne dure sur le nucléaire iranien, les pays de l’UE peinent à s’accorder. Seule une poignée condamne, du bout des lèvres, l’attaque américaine.

Sept bombardiers furtifs B-2 ont été utilisés pour frapper l’Iran dans la nuit de samedi à dimanche 22 juin. Le point sur ces appareils militaires discrets et surpuissants que seuls les Etats-Unis possèdent.

L’installation stratégique, inatteignable dans le cadre de l’offensive menée par Tsahal car enterrée à plus de 80 mètres de profondeur, a été frappée par les Etats-Unis dans la nuit de samedi à dimanche 22 juin.

Après les attaques américaines contre trois sites nucléaires iraniens dans la nuit de samedi à dimanche, une grande partie de la communauté internationale appelle à une désescalade.

Pour le chercheur de l’Ifas, l’Iran a désormais l’«acquis nucléaire», obtenu après plusieurs décennies de travaux, et l’offensive israélienne en cours ne peut que retarder de quelques années le programme nucléaire.

Depuis le lancement de l’opération «Rising Lion» par l’Etat hébreu vendredi à l’aube, les deux pays ennemis ont échangé salves de missiles et menaces d’escalade ce samedi. Donald Trump a dit «vouloir que cette guerre s’arrête».

L’Opération «Rising Lion» lancée par Israël vendredi contre l’Iran a considérablement affaibli le programme nucléaire de la République islamique, mais Téhéran pourrait désormais être tenté de jouer le tout pour le tout.

L’Etat hébreu a lancé dans la nuit de jeudi à vendredi l’opération «Rising Lion» visant la République islamique et son programme nucléaire, une attaque massive et inédite qui rapproche un peu plus le Moyen-Orient d’un nouvel embrasement.

L’Etat hébreu a lancé très tôt ce vendredi 13 juin l’opération «Rising Lion». «Libé» fait le point sur ce que l’on sait de cette attaque et des répercussion qu’elle a eues.

Après les attaques israéliennes contre plusieurs sites en Iran, Hamdam Mostafavi, directrice adjointe de la rédaction et spécialiste du Moyen-Orient, faisait le point sur la situation, ce vendredi 13 juin.

L’Etat hébreu a lancé dans la nuit de jeudi à vendredi 13 juin l’opération «Rising Lion» contre les installations nucléaires de Téhéran, une escalade risquée dans ce conflit régional qui vire à la guerre de religions multimillénaire.

Dans la capitale iranienne, les habitants sont dominés par la crainte d’une guerre totale, après les frappes israéliennes ce vendredi 13 juin.

Les frappes israéliennes contre l’Iran ont épargné jusqu’ici les installations pétrolières, mais la perspective d’une réponse militaire iranienne a déjà provoqué une onde de choc sur les marchés pétroliers et boursiers.

L’AIEA a accusé ce jeudi 12 juin Téhéran de violer ses engagements sur la non-prolifération des armes nucléaires. La république islamique a depuis annoncé qu’elle allait construire un nouveau site d’enrichissement d’uranium.

Face au blocage des négociations sur le nucléaire iranien, Trump s’est dit mercredi 11 juin «beaucoup moins confiant» sur leur issue. Face à un possible danger, les Etats-Unis évacuent des membres non essentiels de leur ambassade en Irak.

Alors que Washington exige, en échange de la levée des sanctions, que l’Iran cesse d’enrichir de l’uranium, le guide suprême du pays a rejeté cette demande mercredi 4 juin. La production de matière nucléaire du pays ne cesse d’augmenter.

Alors que des négociations sont engagées avec les États-Unis, l’Iran refuse de renoncer à l’enrichissement d’uranium et au nucléaire civil, tout en se défendant de l’exploiter à des fins militaires.

Au terme de sa tournée dans le Golfe, le président américain a pressé Téhéran de «se bouger» sur le dossier du nucléaire. Téhéran se dit prêt à faire des concessions mais pas à renoncer à ses capacités d’enrichissement.

Selon le ministre des Affaires étrangères iranien ce mercredi 14 mai, les discussions «devraient» se tenir en fin de semaine en Turquie.

S’il n’y a pas eu d’annonce fracassante, «les négociations ont été beaucoup plus sérieuses et explicites que les trois cycles précédents» et elles «avancent», a affirmé ce dimanche 11 mai le ministre iranien des Affaires étrangères.

Crimée livrée à la Russie, accords avec la Chine, liens avec l’Arabie saoudite et nucléaire iranien… Le président républicain a livré ses opinions sur plusieurs questions internationales à l’hebdomadaire américain ce vendredi 25 avril.

Une semaine après de premiers échanges qualifiés de «constructifs» par les deux pays ennemis, une deuxième session a démarré en Italie ce samedi 19 avril.

Iran et Etats-Unis sont convenus de se revoir la semaine prochaine après une première session de pourparlers «constructifs», par écrit dans des salles séparées, à l’exception d’une brève entrevue entre les deux chefs de délégation.

Les pourparlers entre l’expérimenté ministre des Affaires étrangères iranien, Abbas Araghchi, et l’envoyé spécial américain, le novice Steve Witkoff, démarrent samedi 12 avril à Oman, contre l’avis de Benyamin Nétanyahou.

Le président américain a jugé mercredi 9 avril «tout à fait» possible de passer aux armes si les négociations avec l’Iran sur le nucléaire ne débouchent pas à un accord. Des discussions à ce sujet doivent se tenir samedi à Oman.

L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), chargée de surveiller le programme nucléaire iranien, a confirmé le projet de Téhéran destiné à enrichir de l’uranium à un faible niveau.

En primant l’organisation japonaise contre les armes atomiques Nihon Hidankyo, le comité norvégien souligne le péril grandissant des bombes atomiques au moment où les menaces se renforcent et les arsenaux se modernisent.

Un éventuel bombardement d’installations nucléaires iraniennes par Israël, après l’attaque de Téhéran, mardi soir, est aussi risqué qu’improbable.

L’ultraconservateur Saïd Jalili et le réformateur Massoud Pezeshkian seront opposés ce vendredi. La désastreuse situation économique et sociale et les sanctions américaines sont au cœur des débats.

L’Iran comme Israël minimisent les effets de l’attaque israélienne de vendredi sur Ispahan alors que les appels à la désescalade sont lancés de toutes parts.

Après les frappes d’Israël ce vendredi 19 avril, l’agence de l’énergie atomique estime que les sites nucléaires du pays n’ont pas été attaqués. Ces derniers mois, l’Iran a spectaculairement augmenté son stock d’uranium enrichi.

Selon l’Agence internationale de l’énergie atomique, Téhéran a fortement augmenté ces derniers mois son stock d’uranium enrichi. Ses stocks s’élèvent désormais à plus de 27 fois la limite autorisée par l’accord international de Vienne.

Des particules d’uranium enrichi à 83,7 % ont été détectées par l’Agence internationale de l’énergie atomique. Soit juste en deçà des 90% nécessaires pour produire une bombe atomique.

Le programme nucléaire de Téhéran prévu par l’accord de 2015 fixe son seuil de production d’uranium enrichi à 3,67%,, bien en deça de la quantité qu’elle vient de commencer à produire.

L’Iran vient d’annoncer avoir fabriqué un missile hypersonique dans un contexte tendu. Pour l’AIEA, la nouvelle «renforce les inquiétudes» concernant le programme nucléaire iranien.

Après des mois de tension, le dossier du nucléaire iranien pourrait se régler lors d’une rencontre à Doha, à la suite d’une médiation européenne.

L’Etat hébreu a peur que les Israéliens en vacances, notamment à Istanbul, soient attaqués par des Iraniens. Plusieurs tentatives d’attentats auraient déjà été déjouées, selon des sources anonymes.

Pour protester contre le vote d’une résolution lui reprochant son manque de coopération, Téhéran a désactivé 27 caméras de surveillance. Une provocation qui risque de conduire à «une crise nucléaire aggravée», selon les Etats-Unis.

Dans le cadre d’une tournée régionale, le secrétaire d’Etat américain, Antony Blinken, se rend en Israël pour asseoir les liens entre les Etats-Unis, l’Etat hébreu, et leurs nouveaux partenaires arabes.