Violences conjugales

L’ex-attaquant des Bleus a été reconnu coupable de violences psychologiques sur son épouse, avec laquelle il est en instance de divorce, annonce ce mercredi 3 septembre le tribunal correctionnel de Nice.

Lors d’un parloir début juin avec sa compagne et son fils de 19 mois, l’ancien militaire aurait saisi fermement le cou de la mère de l’enfant, puis lui aurait tiré les cheveux. Il est jugé ce jeudi 28 août pour ces faits qu’il conteste.

Dans son rapport «Ne leur fermons pas la porte», la Fondation des femmes alerte face aux coupes budgétaires dont sont victimes les associations féministes. Selon l’enquête, 50 % d’entre elles ont dû réduire leur activité.

Dans sa plainte, Lila Salet fait état de gifles récurrentes, «toujours dans un cadre intime, donc sans témoins». Alexandra Rosenfeld a de son côté accusé l’ancien gagnant de Top Chef de lui avoir fracturé le nez, avec une radiographie à l’a

L’ex-Miss France et chroniqueuse révèle ce mardi 19 août être l’une des quatre femmes à avoir raconté anonymement les violences infligées par le chef cuisinier, dans une enquête du magazine «Elle» publiée en avril.

La femme de 36 ans est morte dans la nuit de vendredi à samedi après avoir été poignardée. Les deux enquêtes étaient en cours.

L’homme de 38 ans avait pris la fuite après avoir poignardé son ex-compagne de 36 ans vendredi 8 août. Une enquête a été ouverte par le parquet de Saint-Malo.

Le parquet avait requis deux mois d’emprisonnement avec sursis contre son ancien collègue. Des réquisitions qualifiées de «stratégiques» par la défense.

Selon l’avocat du couple, le documentaire consacré à la mort de Marie Trintignant et Krisztina Rady qui a présidé à la réouverture du dossier est «particulièrement à charge».

Une première audience de procédure aura lieu en mai 2026. L’auteur du féminicide a été condamné en juin à la réclusion criminelle à perpétuité par la cour d’assises du Vaucluse. Il a fait appel.

Un rapport sénatorial propose de nouveau de modifier les conditions d’accès à l’AME en tenant compte des revenus du conjoint, en écho au projet du gouvernement de réformer l’octroi de cette aide.

La série Netflix «Le Cas Cantat» a participé à rouvrir l’enquête sur les faits de violences qu’aurait pu subir la femme du chanteur de Noir Désir. Un certain nombre d’éléments avaient été portés à la connaissance de la justice dès 2013.

Dans un communiqué transmis ce jeudi 24 juillet, le procureur de Bordeaux indique rouvrir ce dossier sur la mort de Krisztina Rady, qui s’était suicidée en 2010, notamment en raison d’éléments présentés dans la série documentaire Netflix.

Se mettre à la place des hommes pour moquer leur manque d’empathie ? La tendance sur TikTok souligne la difficulté pour les hommes à comprendre ce que traverse l’autre.

L'acteur qui devait être membre du jury fin juin fait l’objet d’une enquête préliminaire toujours en cours depuis le dépôt de plainte d’une ex-compagne qui l’accuse de violence, ce qu’il nie en bloc.

Les Centres sur les droits des femmes et des familles (CIDFF) ont lancé une semaine d’actions, du 23 au 27 juin, pour alerter sur une crise financière inédite. Ces structures subissent des licenciements et une baisse d’activité.

Alors que 140 féminicides ont été recensés en 2024, le rapport annuel de l’Observatoire de la Fédération nationale Solidarité femmes, qui gère la ligne d’écoute du 3919, témoigne d’un nombre croissant d’appelantes.

Mercredi soir, un homme de 35 ans a été reconnu coupable de viols aggravés et condamné à 14 ans de réclusion criminelle, assorti de 5 ans de suivi socio-judiciaire par la cour criminelle départementale du Tarn.

L’avocat de la famille de Patricia G., tuée par son compagnon en 2022, annonce à «Libé» qu’il a engagé la responsabilité de l’Etat. La plainte de la victime pour violences conjugales avait été classée sans suite un mois avant le meurtre.

La médecin légiste revient sur son goût pour l’autopsie qui l’a amenée à mettre au point un protocole de signalement des violences conjugales.

Après avoir été condamné pour violences conjugales en février, l’agent immobilier et animateur télé accuse ce jeudi 5 juin le parquet de Paris d’avoir «truqué» son dossier. Ses avocats ont annoncé assigner l’Etat pour «faute lourde».

La députée Sandrine Josso et la ministre chargée de l’Egalité, Aurore Bergé, révèlent à «Libé» les principales recommandations de la mission gouvernementale sur la soumission chimique.

Le comédien de «Boardwalk Empire» a plaidé non coupable après des accusations de violences et d’agression sexuelle. Il sera jugé le 17 juin.

Entre vendredi et samedi, Nelissa, 56 ans, a été tuée par son ex-compagnon, tandis qu’à une trentaine de kilomètres, une quadragénaire a également frôlé la mort.

Quatre anciennes conjointes du très médiatique chef étoilé, notamment à la tête du restaurant du Plaza Athénée, l’accusent de violences dans une enquête du magazine «Elle» parue ce mercredi. Le chef nie tous les faits reprochés.

Une initiative d’Axa ajoute l’hébergement d’urgence à l’accompagnement juridique et au soutien psychologique pratiqués dans le secteur. C’est acter l’ampleur du fléau, mais aussi le manque de moyens mis en place par les pouvoirs publics.

Le groupe Stéphane Plaza France a annoncé jeudi 17 avril que les agences immobilières du réseau franchisé pourront choisir de changer de nom pour une nouvelle marque que le groupe va lancer début mai, appelée «Sixième Avenue».

Le conseil départemental drômois doit voter ce lundi 14 avril, dans le cadre de son budget 2025, la fermeture de 7 centres de santé sexuelle qu’il gère directement et la baisse de 20% des subventions au Planning familial.

Dans «Respect», qui paraît jeudi 3 avril, l’actrice revient sur les violences sexuelles qu’elle a subies depuis l'enfance, les abus psychologiques dont elle accuse son ex-compagnon Bertrand Blier, et l’omerta qui a entouré ses souffrances.

Après une plainte déposée par son ex-compagne, l’ancien présentateur de Fréquenstar et de Graines de star sur M6 doit comparaître pour violences conjugales et harcèlement.

Au terme de cinq jours d’audiences, la Cour d’assises de Gironde a rendu son verdict ce vendredi 28 mars, condamnant l’accusé pour l’assassinat de sa femme, brûlée vive en pleine rue à Mérignac en 2021.

Au quatrième jour d’audience jeudi 27 mars, Mounir B. persiste à multiplier les logorrhées fantasques, les provocations complotistes, les dénégations et minimisations diverses, sans la moindre empathie pour sa victime.

Au troisième jour du procès, les témoignages des proches de la victime, de l’ex-épouse de l’accusé et de ses enfants ont donné à voir l’étendue de la dévastation causée par son crime.

A la seconde étape du procès de Mounir B., accusé d’avoir brûlé vive son épouse à Mérignac le 4 mai 2021, la question de la préméditation est revenue comme un boomerang.

Lors de la première audience, ce lundi 24 mars, Mounir B. a dénoncé une «association de malfaiteurs» venus pour le détruire. La mort de sa femme, qu’il a brûlée vive en 2021 avait bouleversé le pays.

La famille de Chahinez Daoud, tuée par son mari en 2021, a entamé un recours en responsabilité contre l’Etat. Encore rares dans les affaires de féminicides, ces démarches offrent un sentiment de réparation aux proches des victimes.

L’ouverture, ce lundi 24 mars, du procès pour l’assassinat de la femme brûlée vive en 2021 vient rappeler que le nombre de féminicides, malgré les mesures adoptées à la suite de cette affaire emblématique, a encore augmenté.

Exclusions de policiers, conseil de discipline… Après les fautes révélées par l’assassinat de la mère de famille en 2021, le gouvernement tente de répondre par un suivi plus sérieux des procédures.

Le procès de Mounir B., jugé pour l'assassinat de sa femme, s’ouvre lundi 24 mars devant les assises de Gironde. Un féminicide devenu emblématique des manquements en matière de prise en charge des violences conjugales.

Une jeune femme a été tuée, vendredi 21 mars, dans le Nord. Son époux a été interpellé et placé en garde à vue dans le cadre d’une enquête ouverte pour «homicide volontaire par conjoint».