A quelle sauce vont être mangés le petit robot Nao et les quelque 90 salariés restants d’Aldebaran Robotics ? Depuis le dépôt de bilan de l’entreprise qui se présentait comme «l’un des leaders de la robotique humanoïde» et son placement en procédure de sauvegarde judiciaire le 14 janvier, ça sent la fin de l’histoire dans les couloirs de l’ex-champion high-tech installé à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Fondée en 2005 par le polytechnicien Bruno Maisonnier, puis reprise par le géant japonais Softbank en 2015 avant d’être revendue en 2022 au groupe allemand United Robotics, Aldebaran a eu son heure de gloire : la start-up qui porte le nom d’une étoile géante a développé plusieurs petits robots conversationnels comme Nao, Romeo et
Dépôt de bilan
Aldebaran : deux repreneurs en lice pour tenter de ranimer le petit robot Nao
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Le robot Nao, produit par la start-up française Aldebaran Robotics, en 2013. (Ed Alcock/MYOP )
publié le 7 mai 2025 à 15h24
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