Si les menaces sur la hausse des droits de douane brandies par Trump ne se matérialisaient pas toutes. Si le cours du pétrole restait à bas niveau. Si les ménages français cessaient leur comportement de précaution et piochaient dans leur épargne. Si la mise à la diète des dépenses publiques ne freinait pas l’ensemble de l’économie. Et si tout ceci se produisait en ce début d’année, alors peut-être que la prévision de croissance du produit intérieur brut (PIB) inscrite par le gouvernement Bayrou dans le dernier budget, 0,9 % pour cette année, pourrait devenir réalité.
Après la Banque de France le 12 mars, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) lundi, l’Insee revoit, ce mardi 18 mars, à la baisse ses anticipations sur l’activité é