Les régulateurs français et italiens s’interrogent sur le fonctionnement et le respect de la vie privée des utilisateurs du nouvel outil conversationnel dans leurs pays respectifs.

Alors qu’Emmanuel Macron accueillera au Grand Palais les 10 et 11 février chefs d’Etats et gourous du numérique dont Musk et Altman, l’impact de l’IA sur différentes disciplines dont l’éducation sera décrypté au Théâtre de la Concorde.

L’émergence de la start-up chinoise a porté un coup aux géants américains lundi, leur prouvant que d’autres acteurs pouvaient s’immiscer dans un secteur qui leur paraissait acquis.

Un robot conversationnel mis en ligne par une start-up chinoise pourrait bousculer les mastodontes américains de l’intelligence artificielle. Ce «chatbot» est présenté comme beaucoup moins gourmand en ressources, au moins sur le papier.

Après le lancement du chatbot chinois qui concurrence le programme mis au point par OpenAI, les observateurs ont mentionné un «moment Spoutnik» que pourrait représenter cette avancée dans la course mondiale à l’IA.

L’arrivée sur le marché d’un nouveau robot conversationnel, développé par la startup chinoise DeepSeek, a agité ce lundi 27 janvier les marchés boursiers américains.

La première plateforme mondiale d’échanges de cryptoactifs est visée par une information judiciaire ouverte ce mardi 28 janvier par la Juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (Junalco).

Le président américain a affirmé lundi 27 janvier que Microsoft pourrait faire partie des prétendants au rachat de TikTok. Il n’a pas révélé les noms des autres entreprises en lice.

La Bourse de New York est en forte baisse ce lundi, sous le coup de l’essor d’un nouveau robot conversationnel - «chatbot» - chinois. Ce dernier pourrait concurrencer les performances de ChatGPT tout en étant beaucoup moins coûteux.

Le chatbot Lucie a été mis au point par l’entreprise Linagora en lien avec le CNRS. Censé concurrencer ChatGPT, il a été retiré dimanche 26 janvier, soit trois jours après sa mise en ligne. Ses promoteurs entendent continuer à l’améliorer.

Les Mondiaux des sports extrêmes, qui s’ouvrent ce jeudi 23 janvier, testent pour la première fois l’utilisation de l’intelligence artificielle, qui donnera ses estimations de notes. Elles viendront en complément de celles du jury.

Entouré de trois fleurons de la tech, le président américain a annoncé mardi le financement d’un mégaprojet d’infrastructures d’IA à hauteur de 500 milliards de dollars. Une initiative en fait amorcée en mars et encouragée par Biden.

Les marchés ont réagi vivement après les remarques de Donald Trump mardi au deuxième jour de sa présidence, menaçant la Chine et l’Union européenne de tarifs douaniers dès le 1er février prochain.

Le projet, porté par Open AI, accompagné par l’investisseur SoftBank et le gestionnaire de données Oracle, a pour ambition d’accompagner les énormes besoins de stockage exigés par l’innovation sur l’intelligence artificielle.

Pour réaliser les économies drastiques qu’il promet avec son «ministère», le milliardaire se veut extravagant et autoritaire, entre harcèlement d’employés fédéraux, suppression d’agences et pressions sur le Congrès.

En 2011, la start-up promettait de transformer le système agroalimentaire grâce à l’élevage de vers de farine et levait des centaines de millions d’euros. Mais cette star de la French Tech vient d’être placée sous procédure de sauvegarde.

Débranchée dans la nuit de samedi à dimanche, le réseau social de courtes vidéos bénéficier d’un sursis depuis ce lundi. Après son investiture, le nouveau président des Etats-Unis pourra suspendre la loi interdisant la plateforme.

TikTok a menacé de débrancher son application dès dimanche, faute de garanties du gouvernement Biden, le président élu Donald Trump ne pouvant pas intervenir avant sa prise de fonction, lundi.

A deux jours de son investiture, le président élu a lancé sa propre cryptomonnaie, dont la valorisation théorique a bondi à 28 milliards de dollars. Une preuve supplémentaire de sa cupidité sans fin et de la folie spéculative du secteur.

L’application chinoise soupçonnée d’espionnage risque de disparaître aux Etats-Unis le 19 janvier. Procédure d’interdiction, scénarios possibles, intervention de Trump… «Libé» fait le point sur l’affaire.

Un collectif porté par le mathématicien David Chavalarias a mis au point «HelloQuitteX», une plateforme pour claquer collectivement la porte du réseau social X (ex-Twitter) le 20 janvier sans perdre sa communauté.

L’agence Française de Presse et l’entreprise de tech, Mistral AI, ont annoncé, ce jeudi 16 janvier, le début de leur collaboration commerciale. Le robot conçu pour dialoguer avec des utilisateurs, peut désormais se servir de l'AFP.

Un adolescent de 16 ans arrêté en Essonne est suspecté d’avoir pénétré dans les serveurs de l’opérateur en octobre, pour subtiliser les données de la quasi-totalité des clients, dont des coordonnés bancaires.

Les Français interrogés dans le dernier sondage la Croix–Verian–La Poste, dévoilé mardi 14 janvier, se révèlent plutôt réticents à un usage de l'IA générative pour certains contenus.

La récente soumission des maîtres du monde immatériel à Donald Trump témoigne de leur versatilité commerçante et de leur inconséquence politique.

La cheffe des Ecologistes a enjoint ce dimanche 12 janvier les membres du Nouveau Front populaire à quitter la plateforme, «pas seulement pénible mais aussi dangereuse». Le socialiste Olivier Faure pourrait lui emboîter le pas.

L’Arizona vient d’autoriser la création de la Unbound Academy. L’établissement ne comptera qu’un seul professeur : l’intelligence artificielle, afin d’optimiser l’apprentissage des élèves. Les experts sont dubitatifs.

La prochaine révolution de l'IA sera les assistants numériques capables d’effectuer des tâches à notre place sur un ordinateur. Mais pour fonctionner, il leur faut en savoir plus sur nous.

La prestigieuse école publique et militaire d’ingénieurs a annoncé ce vendredi 10 janvier quitter le réseau social d’Elon Musk à cause de «l‘évolution éditoriale de la plateforme».

L’argument de la censure invoqué par le patron de Meta, pour mettre fin à son programme de fact-checking aux Etats-Unis est «faux» et va entraîner «un préjudice dans de nombreux endroits», a estimé jeudi 9 janvier l’IFCN.

Le géant français du jeu vidéo annonce, ce jeudi 9 janvier, un nouveau report du prochain épisode de sa licence phare et dit réfléchir à «diverses options stratégiques et capitalistiques» pour la suite.

En même temps que la fin du factchecking, Mark Zuckerberg a annoncé un revirement dans la façon dont sont modérés les réseaux sociaux de Meta, notamment concernant les LGBT+ et les femmes.

Pour Jakarta, le géant américain ne respecte pas la réglementation selon laquelle 40 % de ses téléphones doivent être fabriqués à partir de pièces provenant d’Indonésie. Une contreproposition a été faite pour mettre fin au bras de fer.

Le patron de l’UFC, la plus grande ligue américaine de sports de combat aux Etats-Unis, proche de Donald Trump, rejoint la direction de la maison mère de Facebook, qui cherche à tout prix à s’attirer les faveurs du président élu américain.

Dans un rapport publié dimanche, le Bureau de la sécurité nationale de l’île pointe la responsabilité de la « force cyber » de Pékin pour « voler des donner » et « intensifier le harcèlement et l’intimidation militaire».

Moyennant 1,5 milliard d’euros, l’entreprise américaine pourrait fournir une gamme complète de services de cryptage au gouvernement de la dirigeante d’extrême droite transalpine, a rapporté Bloomberg. La polémique enfle en Italie.

Meta, la firme de Mark Zuckerberg, a reconnu auprès du «Financial Times» avoir mis au point une fonctionnalité permettant aux utilisateurs de ses réseaux sociaux de créer des personnages générés par intelligence artificielle.

En avril, le Congrès avait voté en faveur d’une loi imposant à la maison mère chinoise de TikTok, ByteDance, de vendre ses activités américaines avant le 19 janvier, faute de quoi l’application serait interdite outre-Atlantique.

En plein essor depuis quinze ans, le financement participatif vient de voir l’un des pionniers du secteur se faire racheter par son rival Ulule. Une conséquence de la concurrence généralisée, qui entraîne aussi une course à l’innovation.

A Lausanne, le roboticien Dario Floreano s’inspire de la buse de Harris pour améliorer les capacités de déplacement de ses drones et les rendre, à terme grâce à l’IA, 100 % autonomes.