«Les marchés détestent l’incertitude.» La sentence revient en boucle dans la sphère financière que ce soit chez les traders, les banquiers ou les investisseurs. Or depuis la nuit de samedi 21 à dimanche 22 juin et les frappes contre trois sites nucléaires iraniens par des bombardiers américains B2, l’incertitude est plus que jamais de mise. D’autant plus que le Parlement iranien, selon le média local Press TV, aurait accepté la fermeture du détroit d’Ormuz, dans le golfe Persique, par lequel transite 20 % du commerce mondial du pétrole et du gaz. «Deux hommes forts du régime, Mohsen Rezaï [ancien g
Décryptage
Guerre Iran-Israël : la fermeture du détroit d’Ormuz, spectre d’une flambée des prix du pétrole et du gaz
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Des vedettes rapides des forces paramilitaires bassidji naviguent dans le golfe Persique lors du défilé maritime du CGRI, près de la ville portuaire de Bouchehr, le 29 avril 2024. (Morteza Nikoubazl/NurPhoto. AFP)
par Franck Bouaziz
publié le 22 juin 2025 à 21h20
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