La société des journalistes du mensuel économique a adressé une lettre ouverte ce jeudi 25 septembre au milliardaire d’extrême droite, son propriétaire depuis 2021, insistant pour «rester un magazine d’information».

Lors d’une assemblée générale qui s’est tenue ce jeudi 25 septembre, les salariés du quotidien ont voté, à plus de 70 %, en faveur d’une grève immédiate. Elle devrait prendre fin vendredi soir.

Des cinéastes, parmi lesquels Claude Lelouch et Cédric Klapisch, prennent publiquement la défense de France Télévisions et Radio France, ciblées ces derniers jours par les médias de la bollosphère.

Remontée contre le média à l’origine des révélations sur l’affaire libyenne, affaire dans laquelle son époux venait d’essuyer une condamnation à cinq ans de prison, l’ex-Première dame s’est permis une incartade à la fin de l’audience.

L’ancienne membre du gouvernement d’Elisabeth Borne prendra ses fonctions dans le quotidien francophone le 10 novembre. Elle met en avant une ligne éditoriale qui «défend la souveraineté du Liban contre toutes les tutelles étrangères».

Cinq enfants ambitieux, un empire du luxe, des plans secrets et Vincent Bolloré en embuscade : d’après les informations de «Libération», le quotidien national cristallise les tensions au sein du clan du patron de LVMH.

Pas de contrainte de format, ni de ligne politique, ou de rédacteur en chef. En France, le phénomène débute. Aux Etats-Unis, le site a séduit journalistes, intellectuels créant un lien direct et parfois juteux avec des milliers de lecteurs.

Le réseau social a annoncé mardi 23 septembre le retour de chaînes écartées pour avoir contribué à divulguer de fausses informations. La nouvelle a été saluée par les alliés de Donald Trump.

L’actionnaire majoritaire du média, Claude Perdriel, a confirmé mardi 23 septembre sa vente au groupe de Bernard Arnault. Le deal inclut aussi les revues «Sciences et Avenir» et «La Recherche».

Six jours après sa mise à l’écart, l’humoriste était de retour à la télévision ce mardi 23 septembre. Dans son monologue d’ouverture, l’animateur a répondu aux critiques et s’est montré sans complaisance avec le président américain.

L’institution estime ce mardi 23 septembre que la situation financière du géant de l’audiovisuel est «critique» et pointe le rôle de l’Etat. De quoi donner du grain à moudre à ceux qui, extrême droite en tête, multiplient les attaques.

La Cour des comptes a alerté mardi 23 septembre sur la situation financière «critique» de l’audiovisuel public. La députée écologiste Sophie Taillé-Polian pointe des subventions insuffisantes ne lui permettant pas d’assumer ses missions.

Publié en 2019 dans la maison depuis reprise en main par le milliardaire conservateur Vincent Bolloré, le romancier explique ce choix comme «une manière de résister» à l’extrême droite.

Dans un communiqué commun publié ce lundi adressé au « futur repreneur », Bernard Arnault, les Sociétés des journalistes (SDJ) de Challenges et Sciences et Avenir réclament par ailleurs que « l’ensemble des emplois » soient « préservés ».

Une centaine de journalistes du quotidien se sont réunis ce lundi 22 septembre devant les locaux du journal à Paris, pour protester contre des suppressions de postes et les rumeurs de vente de leur titre.

Loin du brûlot suggéré par son titre, l’essai de l’éditorialiste de «Quotidien» pose un récit distancé sur les ressorts de la notoriété de l’animateur télé et son étroite relation avec le milliardaire conservateur Vincent Bolloré.

L'entreprise de télévision et de streaming sud-africaine numéro 1 passe sous la coupe du groupe Canal+, un rachat qui marque l'affirmation du leadership bolloréen en Afrique.

Des économistes comme Joseph Stiglitz ou Philippe Aghion, ont mis en garde lundi 22 septembre contre un risque d’«effondrement du journalisme d’intérêt public» avec des «conséquences considérables» sur l’économie.

Le ministère américain de la Défense a menacé vendredi 19 septembre au soir de révoquer les accréditations des journalistes s’ils ne font pas valider leurs publications à l’avenir.

Ils ont la fibre sociale, féministe ou queer, et publient des livres dans des maisons du groupe Hachette, propriété du milliardaire. Une contradiction pointée par des lecteurs et militants, notamment le collectif «Désarmer Bolloré».

Alors que ses soutiens souhaitent lui donner l’air d’un mouvement populaire et spontané, la pétition contre l’immigration trouve son origine même dans la galaxie Bolloré. Récit d’une semaine de matraquage promotionnel.

Les journalistes du titre reprochent à leur cheffe, arrivée en janvier à ce poste, «des prises de position dénaturant l’identité profonde du titre» et «des manquements graves et répétés à l’éthique journalistique».

Sophie Taillé-Polian dénonce le traitement médiatique unilatéral de la pétition dans les médias Bolloré, ainsi que l’adhésion systématique des intervenants à la théorie du grand remplacement.

Le présentateur de la matinale, Guillaume Erner, avait établi le 12 septembre, un parallèle entre le journal satirique, victime d’une attaque terroriste en 2015, et l’influenceur d’extrême droite américain. Il s'est depuis excusé.

Lancé par une figure locale de la politique wallonne, le site internet a récemment opéré une levée de fonds d’un million d’euros, auprès notamment du groupe français Lagardère.

Delphine Ernotte Cunci a pour la première fois qualifié clairement la chaîne d’info, dans un entretien au «Monde» ce jeudi 18 septembre. La dirigeante estime que la galaxie de Vincent Bolloré «veut la peau de l’audiovisuel public».

L’Espagne a rejoint les quatre pays qui refuseront de participer au concours musical en mai 2026 si Israël est en lice. La décision d’exclure ou non l’Etat hébreu sera prise en décembre par l’UER, organisateur de l’événement.

Après l’annonce du rachat de «Brut» et de la chaîne Chérie 25 par le groupe CMA CGM, son PDG était auditionné ce mercredi 17 septembre à l’Assemblée nationale. Il y a affirmé sa volonté de préserver l’indépendance des médias qu’il détient.

Dans une lettre commune, les groupes publics alertent l’Arcom, le gendarme de l’audiovisuel, sur «des propos dénigrants» qui «ont occupé ces derniers jours un temps d’antenne très significatif» sur CNews et Europe 1.

Le site du groupe Lagardère qui héberge ce texte ne vérifie ni l’identité ni l’adresse mail de ses signataires, rendant impossible de confirmer ce chiffre.

La nouvelle titulaire de la revue de presse sur France Inter, qui tient à continuer à vivre à l’extérieur du périf, veut donner la parole à ceux qu’on n’entend pas.

Sibyle Veil a adressé un message lundi 15 septembre aux salariés de la radio publique, dénonçant «les critiques obsessionnelles» qui ont «perdu tout lien de proportion avec les faits».

La vidéo publiée par le média d'extrême droite l’Incorrect montrait les deux journalistes au restaurant avec des responsables du Parti socialiste, ce qui leur a valu des accusations de connivence.

La prolifération des bésicles intelligentes va accélérer la diffusion à tous les vents des conversations privées, des bredouillis intimes et même des borborygmes inarticulés.

Une semaine après la diffusion d’une vidéo montrant Thomas Legrand et Patrick Cohen en compagnie d’élus du PS, Vincent Meslet revient sur la polémique auprès du «Parisien». Et dément toute accusation de rouler pour la gauche.

CMA Media, la filiale média de l’armateur CMA CGM, a annoncé vendredi 12 septembre avoir acquis le média vidéo après deux mois de négociations exclusives. Il vient s’ajouter à BFMTV, RMC ou encore «la Provence».

Cette figure de la presse française est morte ce vendredi 12 septembre, des suites d’une maladie neurodégénérative, à l’âge de 70 ans, ont annoncé ces proches.

Montée et diffusée le 5 septembre par le média d’extrême droite «L’Incorrect», la séquence montre le journaliste de France TV, en compagnie de l’éditorialiste de «Libération» Thomas Legrand, en discussion avec deux élus socialistes.

Le quotidien communiste dénonce ce vendredi 12 septembre «une provocation inacceptable, voire une tentative d’intimidation» de la part du milliardaire d’extrême droite.

Réunis en assemblée générale ce jeudi 11 septembre, les près de 500 salariés du quotidien ont voté à la quasi unanimité une motion pour obtenir des éclaircissements sur l’avenir de leur journal.