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Libération
Ça va mieux en le lisant

Du Festival de Cannes aux nappes phréatiques via le breakdance, dix articles qui nous ont réconfortés cette semaine

L’actualité est souvent sinistre, oui, mais il y a malgré tout des raisons d’espérer. «Libération» vous le prouve avec 10 articles embrassant une information réjouissante et curieuse.
Le breakdancer Dany Dann et le film «L'amour ouf», de Gilles Lellouche. (AFP et Studio Canal)
publié le 25 mai 2024 à 9h02

«Ce serait un grand rêve de continuer à faire du cinéma» : à Cannes, des tentatives pour inclure les jeunes oubliés du Festival

Au milieu d’un Festival de Cannes assez excluant pour les Cannois, en particulier ceux des quartiers populaires, la Quinzaine en actions tend la main aux «éloignés du cinéma», entre projections, rencontres ou organisation d’une grande «fête de ceux qui ne rentrent pas dans les fêtes». Lire le reportage.


Festival de Cannes : avec «l’Amour ouf», Gilles Lellouche tombe dans la passion magique

Pour la première fois en compète, le cinéaste nous étonne avec un blockbuster inspiré sur une histoire d’amour contrariée. Lire la critique.


A Lille, pouvoir enfin opérer le cœur des enfants du Nord

C’est grâce à l’Union européenne, que les deux fils de Sophie Hervieu-Bronsard, de 6 et 9 ans, vivent normalement aujourd’hui. Ils ont été opérés d’une malformation du cœur à Bruxelles et à Lille. Le financement de l’Union européenne a permis de créer en 2021 le programme «Kidsheart» pour soigner les malformations cardiaques des plus jeunes sans aller jusqu’à Paris. Lire l’article.


Prévention des rixes au collège : «Ne pensez pas aux réseaux, votre vie, elle est en jeu»

Fort de son expérience personnelle, Adama Camara sensibilise les jeunes aux risques des violences entre quartiers, avec une méthode à mille lieues de celle prônée par le gouvernement, axée sur la répression. Lire le reportage.


Météo solaire, astronautes sur l’ISS, vaisseau de ravitaillement… Les ambitions spatiales européennes se dessinent à Bruxelles

L’Union et l’Agence spatiale ont discuté cette semaine de l’avenir de l’Europe… côté espace. De la lutte contre la pollution en orbite terrestre à l’exploration spatiale humaine, en passant par des missions scientifiques d’astronomie, avant-programme de quelques moments importants à venir. Lire l’article.


Piétonniser les rues aux abords des écoles peut réduire la pollution de l’air de près d’un tiers

Les associations Respire et AirGones publient ce vendredi «la première étude d’évaluation» de dix aménagements de «rues aux écoles» et leur impact sur la qualité de l’air à Paris et à Bagnolet. Les mesures montrent une baisse des concentrations de dioxyde d’azote pouvant aller jusqu’à 30 %. Lire l’article.


Réserves d’eau : les nappes phréatiques françaises se portent beaucoup mieux qu’il y a un an

Grâce à la répétition des épisodes pluvieux, la recharge des réserves souterraines a été excédentaire en 2023-2024, sauf dans les Pyrénées-Orientales. Près de 65 % d’entre elles affichent des niveaux supérieurs aux normales et largement supérieurs à ceux de l’an dernier. Notre article.


Les Bleus aux JO 2024 : let’s breakdance

Véritables chances de podium sur la place de la Concorde cet été, les membres de l’équipe de France de breaking s’entraînent dans les studios de l’Insep à Vincennes. Passée des rues du Bronx dans les années 70 à la sphère olympique à Paris, pour une unique olympiade, la discipline fascine. Notre reportage.


Allons au cimetière, c’est mortel !

Du 24 au 26 mai a lieu l’édition 2024 du Printemps des cimetières, neuvième du genre. Pris, ce week-end ? Pas grave. Il existe plein de bonnes raisons pour aller au cimetière. Eloge d’un lieu propice à cultiver son chagrin mais aussi son jardin. Lire le billet.


Tinder détox : «J’essaye de vivre des jeux de séduction plus joyeux»

Lassés des applications de rencontre après les avoir largement écumées, ils ou elles ont décidé de les désinstaller voire de s’en passer plus ou moins définitivement pour s’en remettre au «hasard». Pour «Libé», ils ou elles racontent le pourquoi de leur désaffection du dating online. Dans notre sixième témoignage, Jeanne, 23 ans, étudiante, à Paris.