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Interviews

La nouvelle matinale de France Inter imaginée par ceux qui vont l’animer: «Faire l’événement», «une mission périlleuse», «je casse le moule», «anti-snobisme»…

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De Nicolas Demorand le survivant à Hélène Fily, nouvelle voix à 8 heures, de Sonia Devillers qu’on entendra davantage au petit nouveau Bertrand Chameroy, Libé a posé les questions qui font mouche aux animateurs anciens ou inédits de la tranche 7 heures-11 heures.
Nicolas Demorand, présentateur entre 7 heures et 9 heures, et Sonia Devillers, présentatrice entre 9 heures et 11 heures. (C. Zannettacci - L. Boiron/Libération)
publié aujourd'hui à 6h45

Appel à la grève contre la loi Dati de réforme de l’audiovisuel public, défiance sur les choix éditoriaux de la direction concernant l’environnement ou l’humour politique, c’est dans un contexte chargé que la matinale de France Inter, la plus écoutée de France, devait faire sa rentrée ce lundi 25 août (avant qu’une grève à Radio France ne vienne empêcher le premier numéro de la saison). On a pris des nouvelles de ses différentes voix, à la fois les inédites et les plus installées, pour connaître leur état d’esprit au moment de repartir pour un tour.

Adèle Van Reeth, directrice de la station

Maintenant qu’elle s’étire de 7 heures à 11 heures, où s’arrête la matinale et où commence France Inter ?

France Inter est partout, tout le temps ! Elargir la matinale d’une heure nous permet d’aborder plus de suje