«Fin du faux suspense.» Ce mardi 11 juin, Guillaume Meurice nous envoie la sentence reçue quelques minutes plus tôt par mail. «Décision de rupture anticipée pour faute grave», lui écrit la direction des ressources humaines de Radio France. La faute grave ? Une «déloyauté répétée», selon les propos de la PDG de la radio publique Sibyle Veil dans un mail envoyé quelques minutes plus tard à ses salariés. C’est le verdict final, après plusieurs mois de turbulences, de la polémique autour de la blague du «nazi sans prépuce» visant Benyamin Nétanyahou, faite le 29 octobre dans l’émission de France Inter le Grand Dimanche soir.
Interview
Après un avertissement de Sibyle Veil à l’automne, une mise en garde de l’Arcom et une plainte pour «incitation à la haine» finalement classée sans suite, Guillaume Meurice s’était vu mettre à pied p