Il en faut plus pour déstabiliser Karine Le Marchand. En ce début du mois de février, comme si de rien n’était, l’animatrice vedette de M6 ne modifie presque pas une ligne de son agenda. Des enregistrements d’émissions en pagaille. La préparation du Salon de l’agriculture, puisque la présentatrice de l’Amour est dans le pré œuvre depuis des semaines à mettre d’accord entre eux les patrons de la grande distribution sur des mesures pour soutenir l’agriculture française. Il n’est d’ailleurs pas rare que le nom de la ministre de l’Agriculture, Annie Genevard, s’affiche sur l’écran de son téléphone qui sonne. Et puis la mise sur pied de son nouveau projet, un site de slow dating en forme «d’agence matrimoniale 2.0.». Du sport à haute dose avec un coach personnel aussi. Et même, le 5 février, une audience à la 11e chambre du tribunal judiciaire de Paris, en préparation du procès qui l’opposera en mai à la sulfureuse communicante macroniste Mimi Marchand.
Comme si de rien n’était donc, elle affiche toujours ce large sourire sur un visage détendu, le même entrain, la même volubilité qui l’ont rendue ultra-populaire auprès des millions de téléspectateurs présents à chacun de ses rendez-vous cathodiques. Comme si de rien n’était. Ou pre