La «pire solution» : c’est ainsi qu’Abdelkader Choukrane, délégué syndical central Unsa de SFR, qualifie l’offre conjointe déposée par les trois opérateurs français Bouygues, Free et Orange mardi 14 octobre au soir pour le rachat de SFR. L’offre de 17 milliards d’euros a été «immédiatement rejetée» ce mercredi 15 octobre par Altice France, la maison mère du deuxième acteur français des télécoms. Mais «c’est seulement le début des négociations», estime le représentant de l’organisation syndicale majoritaire chez SFR, qui craint «une destruction massive des emplois» en cas de rachat à la découpe par les trois opérateurs concurrents.
Comment avez-vous accueilli l’offre de rachat