Face au scandale des airbags défaillants de la marque Takata et aux immobilisations de véhicules qui se poursuivent dans l’Hexagone, les automobilistes concernés doivent être davantage accompagnés. Dans un arrêté publié ce mardi 29 juillet, le ministère des Transports annonce ainsi que les constructeurs automobiles vont devoir proposer des «solutions de mobilité» à leurs clients immobilisés plus de 15 jours par des airbags dangereux de marque Takata, comme le prêt d’un véhicule de remplacement ou le financement d’un autre moyen de transport.
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Ces véhicules visés par un «stop drive», soit 1,7 million au total en France, devront être réparés en moyenne 15 jours après la prise de rendez-vous sous peine d’«astreintes élevées», renseigne la même source. Des rendez-vous de réparation à domicile ou de remorquage du véhicule jusqu’au centre de réparation doivent également être proposés.
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