C’est vrai qu’à côté des négociations à plusieurs milliards d’euros sur dix ans ou plus pour le rail, les routes et le fret, les quelques centaines de millions d’euros d’investissement par an dont le vélo a besoin ont dû paraître bien moins conséquents aux organisateurs de la conférence de financement des transports, lancée ce lundi 5 mai à Marseille.
Mais de là à zapper complètement les financements nécessaires pour le vélo, après avoir déjà gelé le plan vélo en 2024 et accordé 50 millions (un cinquième de ce qui était prévu) en 2025, on peut s’interroger. Les différents acteurs du secteur des mobilités dites «actives» (celles où on se bouge les fesses sans polluer p