On ne sait plus vraiment où va s’arrêter la crise pour Stellantis, qui chapeaute Peugeot, Citroën, Fiat, Chrysler ou encore Jeep. Quelques jours après la confirmation, en fanfare, de la nomination d’Antonio Filosa à la tête du constructeur automobile, le groupe multinational a annoncé une perte nette de 2,3 milliards d’euros au premier semestre 2025. Carlos Tavares viré à l’automne, gammes qui peinent à se renouveler, fiasco du moteur PureTech,
Coup de frein
Stellantis annonce une perte de 2,3 milliards d’euros au premier semestre de 2025
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Sur la chaîne de montage de l'usine de fabrication de fourgons Sevel de Stellantis à Atessa, en Italie, le 23 janvier 2024. (Remo Casilli/REUTERS)
par Damien Dole
publié le 21 juillet 2025 à 10h34
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