On ne rigole pas, avec Linux. Attention, C'est du sérieux ! C'est une philosophie, même, qui trouve ses racines en 1984 avec le lancement par Richard Stallman du projet GNU. Donc, si Linux (oups, GNU/Linux) est austère, c'est normal. Quand des développeurs du monde entier réunissent leurs forces pour réaliser un système libre en face de multinationales puissantes qui dépensent des milliards pour la même chose, on peut se réjouir d'avoir quelque chose de stable et d'efficace. L'interface bling bling de Vista, avec ses fenêtres qui virevoltent dans tous les sens, on n'en a pas besoin, sous Linux. On est au dessus de ça.
Mmmmh, pas mal comme intro. Ca devrait en convaincre plus d'un. Allez, Ctrl+Alt et un coup de souris, et zwiiing, le cube qui tourne. Touche Windows+TAB, hop, le sélecteur de fenêtre en 3D. Je bouge une fenêtre, elle gigote comme un flamby. Je la ferme. Rhooo, des flammes.
Oui, bon, j'avoue, je suis super bling bling quand il s'agit d'interfaces d'ordinateur. J'adore tous les trucs qui bougent, qui diminuent et qui s'agrandissent, qui tournent. La première fois que j'ai vu F9 fonctionner sous OSX (fonction qui réduit toutes les fenêtres du bureau pour les faire toutes apparaître en même temps), j'ai presque voulu m'acheter un Mac. Quand j'ai vu le sélecteur de fenêtres en 3D de Vista, j'ai trouvé ça cool. Du coup, j'en suis presque à me demander si la première fois que j'ai voulu essayer Linux ne remonte pas à ce jour où j'ai vu des captures d'écran du «Cube».
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