Vêtu de pied en cap d'un voile bicolore, parsemé de quelques touches pop « orange », pour rappeler que le site est avant tout une initiative du fournisseur téléphonique coloré plutôt qu'une entreprise bon enfant (comme le profil de la WorMeefamily voudrait le faire paraître), le dernier concurrent en date de Deezer est accessible au public depuis hier matin. WorMee , un barbarisme anglophone en deux parties. D'un côté le lombric, animal fouisseur de la classe des oligochètes pour l'aspect recherche et exploration du « terreau » musical. De l'autre la tendance communautaire librement inspirée de la concurrence et de facebook.
Sorti d'une bêta test privée où seuls 1500 internautes étaient conviés, suivie d'une pause pour effectuer les derniers réglages, WorMee est enfin accessible à l'internaute lambda. Bien qu'en phase de finition, le site est entièrement fonctionnel et se place dès le départ sur le même créneau que Jiwa.fm et consort. Du streaming en ligne, gratuit, légal et alimenté par les labels partenaires ainsi que par les membres inscrits, les «Wormz» (du moment que les morceaux et leurs artistes soient signataires chez les dits labels).
Souris en main et casque sur la tête, WorMee surprend. Par son ergonomie d'abord, presque aussi aboutie que la pointure en la matière, Spotify (