« Les faits ne soutiennent pas l'affirmation » . Le message de Brandon LeBlanc, directeur de la communication de Windows chez Microsoft, est plutôt clair : la suppression de Windows au sein des bureaux de Google, pour des raisons de sécurité, ne tient pas la route.
Rappel des faits : lundi dernier, le Financial Times a relayé des declarations selon lesquelles les responsables de Google à Mountain View inciteraient fortement leurs salariés à désinstaller Windows de leurs machines de travail pour passer à MacOS ou une distribution Linux.
Sur son blog, Microsoft a donc réagi en fustigeant la position de Google et en réagissant aux attaques qui lui sont souvent faites d'avoir un système d'exploitation plus vulnérable aux attaques que les concurrents. Face à de telles critiques, Brandon LeBlanc dégaine les arguments d'autorité : « Quand on parle de sécurité, même les hackers admettent que nous faisons un meilleur travail en rendant nos produits plus sécurisés que n'importe qui d'autre. [...] Les leaders de l'industrie comme Cisco nous disent régulièrement que nos efforts et notre investissement continue de surpasser ceux des autres » .
Un soutien inattendu pour Microsoft est également venu de la part de Mcafe