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Libération

Quoi de love, docteur ?

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publié le 30 août 2010 à 9h23

D’abord, il y a eu Dr Ruth. Puis il y a eu Le Doc et ses consultations radiophoniques d’ados turgescents. Il y a eu la psy de TF1 Catherine Muller expliquant, les yeux exorbités, au type qui néglige sa femme que c’est le petit garçon enfoui en lui qui a peur de cette grande dame toute nue qui lui rappelle sa maman ; oui, sa maman que son papa battait chaque soir ; oui, son papa qui lui donnait du Pal en guise de repas. Et puis il y a le Dr Garriberts. Il faut voir la montagne de lettres qui l’attendait à son retour d’une campagne de santé publique menée tout l’été à l’initiative du gouvernement à destination des populations Roms (inoculation de la malaria et du typhus)… L’été télé a été très love, comme dirait le nouveau président des Jeunes populaires Benjamin Lancar, et une page ne sera pas de trop pour répondre aux questions de nos correspondants sur leurs angoissées, voire angoissantes sexualités exposées sans vergogne au téléspectateur estival.

On nous écrit de la campagne

«Monsieur et madame le Docteur Garriberts, je m’appelle Freddy et je souhaite, par la présente, savoir pourquoi je n’ai pas trouvé compagne à mon goût lors de l’émission L’amour est dans le pré diffusée sur M6 tout l’été. Les deux jeunes femmes qu’on m’a présentées n’ont pas voulu rester. Bien sûr, comme je l’ai dit dans le dernier épisode, "après, je me suis réconcilié avec mes animaux", mais ils ne font pas la vaisselle.»

Cher Freddy, nous avons suivi vos (més)aventures tout l’été et nous demandons si vous seriez ou