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Libération

Picma Squared

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publié le 11 avril 2011 à 16h33
(mis à jour le 12 avril 2011 à 14h03)

L'équipe d’Écrans.fr décline toute responsabilité quant à la chute de productivité que pourrait provoquer ce jeu dans les heures à venir. Elle tient également à attirer l'attention de ses lecteurs sur la dangerosité accrue des comportements habituellement peu risqués, du type «juste 5 minutes pour essayer» ou «encore une partie et je me remets au boulot».

Et si l'avertissement légal ci-dessus n'est pas suffisamment convaincant, on le répète ici plus directement : ne jouez pas à Picma Squared . C'est dangereux. On commence par les petits niveaux d'entraînement de 5 cases sur 5, monochromes et ultra-faciles. Amusé, on essaie ensuite les 12 niveaux de 10 cases sur 10, les grilles à 2 puis 3 puis 4 couleurs, puis les 15x15, les 20x20, les 30x30... On devient vite habile à l'exercice, mais le jeu se complexifie au moins aussi rapidement et chaque partie se met à dépasser allègrement la demi-heure.

Picma Squared entre donc aujourd'hui dans la catégorie «puzzle» des chronophages à de simples fins d'étude, de documentation et de préservation du patrimoine webo-ludique. Il est en effet un bon exemple de croisement brillant entre deux grands classiques -- Picross et le Démineur . Dans chaque tableau, il s'agit de découvrir un dessin en coloriant des cases. Un numéro indique combien de cases avoisinantes doivent être colorées, y compris celle dans laquell