Oui, oui, chers lecteurs, nous aussi on en a marre d’entendre parler de Netflix, mais que voulez-vous, tout le PAF semble graviter autour du site américain de vidéos par abonnement (SVOD) depuis son lancement français le 15 septembre. Et chaque jour voit son nom surgir dans l’actualité laquelle, rappelons-le, est notre sacerdoce. Netflix, donc.
Au début de la semaine, le site jouait sur son terrain favori, celui de la disruption : Netflix s'attaque désormais au cinéma en coproduisant la suite du film Tigre et Dragon. Pas mal, sauf que le même Netflix a annoncé jeudi qu'il allait produire rien de moins que les quatre prochains films de l'acteur américain à velléité comique Adam Sandler (Amour et Amnésie, etc.). Les longs métrages seront directement disponibles en ligne pour les 50 millions d'abonnés qu'affirme compter Netflix dans le monde. Pourquoi Sandler ? Selon Ted Sarandos, directeur des contenus, «les gens aiment les films d'Adam sur Netflix et les regardent encore et encore». L'algorithme du site, en perpétuel flicage de ses clients, a parlé.
Morceau. Netflix toujours qui, a-t-on appris jeudi, sera désormais disponible sur la box d'Orange. Mais enfin ! N'a-t-on pas entendu en juillet un certain PDG déclarer «je ne souhaite pas qu'Orange soit à l'avant-garde» de ceux qui accueilleront Netflix en France ? C'est pourtant bien le même Stéphane Richard qui, en ouverture du «Show Hello» (on ne rit pas) o