Vous ! Oui, vous, lecteurs, qui, pour voir ce que ça donne, vous êtes abonnés à Netflix, profitant du mois gratuit offert lors de son lancement en France, avant de vous désabonner au bout de trente jours pour ne pas grever le budget familial (oups, vous avez oublié ? Eh bien ce sera 8,99 euros pour Netflix), cet article est pour vous. Car on est bien d'accord que, comme tout homo mediaticus normalement constitué, vous ne sauriez vivre sans un abonnement à de la vidéo en ligne, prononcez «SVOD» (qui a dit piratage ? Nous, on n'a rien entendu, hou que c'est laid le piratage).
Rumeurs. Ils sont cinq sur le créneau de la SVOD, avec leurs spécificités, leur ligne éditoriale propre, leur catalogue plus ou moins extensible (lire ci-contre). Quatre d'entre eux existaient tranquillement avant le fameux lancement du non moins fameux cinquième, mais depuis, rien n'est plus pareil, tous, dans le petit monde des médias n'ayant que son nom à la bouche : Netflix, Netflix, Netflix… Ainsi, les fournisseurs d'accès à Internet (FAI) qui, avant son lancement, affirmaient qu'ils n'hébergeraient pas le grand méchant Netflix sur leur box, facilitant son développement en France, s'y mettent les uns après les autres. Ainsi, gentiment poussé par les pouvoirs publics, Orange veut-il lancer son propre site de SVOD, pourquoi pas en s'alliant ave