Pendant que les représentants des gouvernements cherchent des solutions multilatérales à la crise climatique, les militants du climat renforcent depuis plusieurs mois leurs actions dans la rue. Parmi les mouvements les plus en vue, Dernière Rénovation (DR pour les intimes) a vu ses activistes s’attacher au filet de tennis de Roland-Garros, perturber le Tour de France puis désormais bloquer régulièrement le périphérique parisien et d’autres routes françaises. Le but ? Dénoncer l’inaction gouvernementale. A l’occasion, ce dimanche, de la publication de l’accord de la COP 27, nouvel exemple d’une «impasse politique» dénoncée par le collectif, Bertrand Caltagirone, «citoyen engagé» de la première heure et membre de Dernière Rénovation, explique en exclusivité à Libération les décisions stratégiques de son mouvement.
L’accord de la COP 27 vient d’être annoncé. Qu’en pense Dernière Rénovation ?