Les vignerons n’ont pas attendu les rapports du Giec pour s’affoler des conséquences du réchauffement climatique. Tous les jours, dans leurs parcelles, ils constatent ses effets. Le stress hydrique, les couloirs de grêle ou encore le débourrement des vignes (quand le bourgeon sort de ses écailles) beaucoup plus tôt rendent le fruit fragile aux intempéries. Malgré ce constat inquiétant, de jeunes viticulteurs continuent de s’installer un peu partout contre vents, incendies et mildiou.
C’est le cas d’Axel Domont, ancien cycliste professionnel, qui cultive de la jacquère, de la r