Faut-il se réjouir ou au contraire s’alarmer de la quasi-absence de l’environnement dans le discours de François Bayrou sur le projet de budget de 2026 destiné à faire un effort de 43,8 milliards d’euros ? Après avoir enfoncé une porte ouverte en affirmant, au début de son allocution, mardi 15 juillet, que «le changement climatique est une menace», le Premier ministre a ensuite totalement éludé le sujet lors de la présentation de son double plan «Stop à la dette, en avant la production».

Une grave impasse symbolique pour les ONG vertes : «François Bayrou