Certains l’avaient présentée comme la potentielle plus grande responsable du bond des températures mondiales observé en 2023 puis 2024. Des mois durant, les regards se sont focalisés sur la baisse des émissions des aérosols d’origine maritime - conséquence d’une réglementation adoptée en 2020 qui a réduit la teneur en soufre dans les fiouls marins de 3,5 % à 0,5 % - pour tenter d’expliquer la hausse du thermomètre. Or, il semble que la science soit en train de l’écarter. Alors que les
Interview
L’impact de la pollution maritime dans le réchauffement climatique est «fortement relativisé» par la science
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La baisse des émissions des aérosols d'origine maritime est observée pour réduire la teneur en soufre dans les fiouls marins. A Wismar (Allemagne), le 2 janvier. (Jens Buttner/DPA.AFP)
par Anaïs Moran
publié le 12 mai 2025 à 16h13
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