Auréolé de son titre de «champion de la Terre», décerné en 2018 par le Programme des Nations unies pour l’environnement, Emmanuel Macron a multiplié les discours enflammés et les «One Planet Summit». Il a enchaîné les symboles : nomination de Nicolas Hulot à la tête d’un grand ministère de la Transition écologique – lequel a fini par démissionner avec fracas –, fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim, abandon de projets comme l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes… Il a promis en 2017 que le glyphosate, l’herbicide le plus utilisé au monde, serait interdit en France au plus tard fin 2020. Il a voulu la création du Haut Conseil pour le climat et l’organisation de la convention citoyenne. Plusieurs lois ont été votées (sur l’économie circulaire, les mobilités, le climat, l’agriculture et l’alimentation). Au bout de
50 nuances de vert
Macron et l’environnement: «Make our planet great again», vraiment?
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Emmanuel Macron (face au Premier ministre norvégien Jonas Gahr Støre), hôte du One Ocean Summit à Brest, le 11 février 2022. (Javad Parsa/NTB. AFP)
publié le 20 mars 2022 à 11h51
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