C’est une bonne occasion de remettre le sujet en lumière, en cette journée nationale de la qualité de l’air et du premier jour du Mondial de l’auto, étant donné que la pollution atmosphérique constitue le deuxième facteur de risque de décès dans le monde et que le trafic routier continue de jouer un rôle plus que notable dans l’émission de ces polluants : en voiture, il n’y a pas que les pots d’échappement qui s’avèrent être mauvais pour la santé et les milieux naturels.
Dans une étude publiée ce lundi 14 octobre, l’association Agir pour l’environnement rappelle que l’abrasion des pneumatiques est également une plaie. L’ONG parle même de «pollution massive» aux particules fines en raison du contact des pneus d’un véhicule avec la chaussée. «Jusqu’à mille milliards de particules dont la taille