C’est une bonne nouvelle, confirmée d’année en année : la couche d’ozone stratosphérique qui protège la Terre des rayons ultraviolets du soleil continue de se régénérer. En 2024, la déchirure dans celle-ci a été plus petite que les années précédentes, indique l’Organisation météorologique mondiale (OMM) ce mardi 16 septembre. L’an dernier, la profondeur du trou qui apparaît au-dessus de l’Antarctique chaque printemps était «inférieure à la moyenne de la période 1990-2020» et à celle des trous «relativement importants observés entre 2020 et 2023», relève ainsi l’agence de l’ONU.
Le faible niveau d’appauvrissement de la couche d’ozone observé en 2024 est «en partie dû à des facteurs atmosphériques naturels qui entraînent des fluctuations annuelles», explique toutefois le bulletin «Ozone 2024» de l’OMM. Dans une autre publication, le service européen