Analyse

Trois raisons de ne pas regretter la nationalisation. La prise en main par l'Etat du secteur aura évité la disparition de la sidérurgie française, évité l'hémorragie sociale et limiter la casse dans le Nord et en Lorraine.

Article réservé aux abonnés
publié le 1er juin 1995 à 5h47

Les plus lus