En Auvergne devant des patrons. Chirac critique les 35 heures, en toute courtoisie. Le Président a insisté hier sur la nécessité de négocier la baisse du temps de travail, par opposition à la voie légale choisie par Jospin. Tout en se disant favorable au principe.
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publié le 17 octobre 1997 à 10h07