Vague d'occupations pour obtenir 3 000 francs. Le front antichômage réclame la «prime de Noël». Collectifs de chômeurs et syndicats se mobilisent pour exiger que le reliquat des fonds sociaux des Unedic soit versé aux chômeurs sous forme de prime, comme c'est le cas à Marseille. Occupations d'agences de l'ANPE et manifestations se multiplient.
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publié le 25 décembre 1997 à 14h31