Khatami se désolidarise de la «fatwa» contre l'écrivain. L'Iran relâche la pression sur Salman Rushdie. La décision «signifie la liberté pour moi» s'est félicité l'auteur des «Versets sataniques», dont la tête était mise à prix par Téhéran depuis 1989.

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publié le 25 septembre 1998 à 10h27

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