Une virulente campagne accuse les magistrats d'abuser de leurs pouvoirs et de menacer la démocratie. Des juges se rebiffent. On leur reproche de s'acharner sur le monde politique, de trop recourir à la détention provisoire et de négliger la présomption d'innocence. Ils répondent, page 4.

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publié le 8 octobre 1998 à 13h38

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