Quelque 400 membres de l'Unamet et leurs familles évacuent la capitale. Seuls 80 volontaires restent sur place. Vendredi, 9 heures, l'ONU quitte le Timor oriental. Alors qu'à Djakarta l'armée indonésienne nie les massacres (lire page 5), notre reporterà Dili a accompagné le personnel de l'ONU dans sa fuite en Australie. Récit d'un départ sous haute surveillance.

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publié le 11 septembre 1999 à 0h32

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