66 centres-ville ont vécu hier sans voitures
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Un succès mitigé qui ne règle aucun problème de fond. «Mais quelle pagaille, et il y a encore moins de bus».
Joie des piétons d'ordinaire asphyxiés, grogne des «travailleurs»privés de leur automobile... et scepticisme quasi général quant à l'utilité de cette seconde journée sans voitures.