Alors que les bombardements aériens ont marqué une pause hier, Moscou somme la population civile d'évacuer la ville. L'étau russe se resserre autour de Grozny. Echappé de la capitale tchétchène, un combattant témoigne du quotidien des40 000 assiégés.

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publié le 13 décembre 1999 à 2h02

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