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Libération
A suivre

A partir de samedi, «Libé» passe à l'heure d'été

Récits, feuilletons, premiers chapitres des livres de la rentrée, quiz et BD... retrouvez le cahier spécial de huit pages (en semaine) et de vingt pages (le week-end).
Une du cahier été des 18-19 juillet.
publié le 17 juillet 2015 à 14h05

Manger de l'homme, recréer des espèces disparues, prôner les 32 heures, supporter le PSG ou pratiquer le bondage… A partir de samedi, et jusqu'au 29 août, le cahier été de Libération se plongera dans les horreurs et les bonheurs des tabous, interdits et autres mauvaises manières : ceux qui meurent, ceux qui naissent, ceux avec lesquels on ne plaisante pas et ceux qu'il est si doux de transgresser…

Les ours, Kaamelott, les Schtroumpfs, Madonna, la bière ou les planètes de SF… Tous les jours aussi, un quiz pour tester nos ignorances et un droodle, une énigme comique et graphique due au regretté dessinateur américain Roger Price extraite d'un recueil à paraître à La Table ronde.

Dans nos séries hebdomadaires, on apprendra que le Titanic n'a pas coulé et pourquoi Jeanne d'Arc était un homme. On saura également tout ce qu'il faut savoir sur les grandes modistes du siècle passé, l'évolution des consoles et des jeux vidéo de 1972 à nos jours, ainsi que celles des reliques sacrées, comme le saint prépuce de Jésus ou les gouttes de lait de la Vierge, ce qui nous renvoie encore beaucoup plus loin…

Sans remonter jusqu'à Abel et Caïn, nous raconterons, chaque samedi, un crime familial et son cocktail de haine, d'amour et d'alcool. Plus sobre, Hervé Bourhis nous offre sa nouvelle BD, le Teckel (tome 2), tandis que le service Livres présentera en avant-première, chaque semaine également, le premier chapitre d'un roman de la rentrée.

Et puis, en vrac, des portfolios sur le thème de la couleur, des partenariats avec Arte, France Inter et France Culture, un florilège d’expressions et de phrases insupportables, les trios célèbres, la vie des grands romanciers aventuriers (Orwell, Conrad, Malraux, Monfreid…), des histoires de cheveux ou d’animaux célèbres, des recettes…

Bref, six semaines d’insouciance et de vacances –  si une telle durée n’est pas taboue dans la France d’aujourd’hui.

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