Transports, rénovation industrielle, végétalisation… En 2024, Libé explore la thématique de la transition écologique lors d’une série de rendez-vous gratuits et grand public. Objectif : trouver des solutions au plus près des territoires. Première étape de notre seconde édition, Bordeaux, les 9, 10 et 11 février (entrée libre sur inscription). Un événement réalisé en partenariat avec la ville de Bordeaux et le département de la Gironde avec le soutien de l’Université de Bordeaux, le Crédit coopératif, l’Agence de la Transition écologique (Ademe), la Fondation Jean-Jaurès, le magazine «Pioche !» et «Vert le média».

Le changement climatique touche de plein fouet les sociétés d’un monde en pleine mutation. Canicules et sécheresses, incendies dévastateurs, inondations meurtrières… Si l’année 2022 s’était déjà distinguée par la multiplication des événements extrêmes, 2023 a continué de battre tous les records. D’après les scientifiques, elle est l’année la plus chaude jamais enregistrée sur Terre. En parallèle, l’inflation s’est installée durablement et la 11e édition du rapport Oxfam continue de pointer inlassablement l’accroissement des inégalités sociales. Le fossé se creuse entre les plus riches et les classes populaires, surtout depuis 2020 et l’enchaînement des crises : pandémie mondiale, guerre en Ukraine, choc inflationniste et… crise climatique. Dans cette perspective, comment réconcilier la lutte contre le réchauffement climatique et la justice sociale ? Peut-on insuffler des changements structurels sans rassembler et redistribuer plus justement ? En quoi les territoires peuvent-ils apporter des expérimentations concrètes pour relever les immenses défis de sobriété et de solidarité qui nous attendent ?

L’heure n’est pas au défaitisme. Le dernier baromètre de l’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire (Injep) a publié, en 2023, des chiffres qui renouent avec l’espoir : «64 % des jeunes âgés de 18 à 30 ans déclarent que leur vie actuelle correspond à leurs attentes» ; «pour les trois années à venir, 67 % des jeunes se disent “très confiants” ou “plutôt confiants”». Dernier chiffre : «40 % des 18-30 ans déclarent avoir donné bénévolement de leur temps au sein d’une association (sportive, culturelle, de loisirs, humanitaire, politique, syndicale…) au moins une fois au cours des 12 derniers mois.»

Au travers d’une série de débats, de conférences et d’ateliers, la deuxième édition du «Climat Libé Tour» tentera de décrypter les défis qui nous attendent et d’envisager des solutions concrètes pour agir ici et maintenant. Rendez-vous le 9 février au théâtre national de Bordeaux en Aquitaine, et du 10 au 11 février sur le Campus universitaire place de la Victoire, à Bordeaux, pour échanger avec des politiques, des chercheurs, des intellectuels, des jeunes leaders et autres capitaines d’industries.

Entrée libre, gratuite sur inscription : cliquez ici !

Intervenants

Du vendredi 9 au dimanche 11 février, venez rencontrer, débattre et écouter : la militante Camille Etienne, la journaliste et responsable du pôle écologie du média Blast Paloma Moritz, le jeune militant et acteur du film de Cyril Dion (Animal) Vipulan Puvaneswaran, l’ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve, l’économiste Timothée Parrique, la philosophe Corine Pelluchon, la secrétaire générale de la CFDT Marylise Léon, le jeune leader et fondateur du mouvement Destins liés Achraf Manar, l’ambassadeur chargé des océans et des pôles Olivier Poivre d’Arvor, l’ancienne ministre du Logement et directrice générale d’Oxfam France Cécile Duflot, le chef deux étoiles Nicolas Masse, l’ancien candidat des Verts à la présidentielle Noël Mamère, le réalisateur Edouard Bergeon (Au nom de la Terre et la Promesse verte), le membre de la Convention citoyenne pour le climat Grégoire Fraty, la fondatrice de l’ONG Reclaim Finance Lucie Pinson, le sociologue Vincent Tiberj, la vice-présidente Plaidoyer d’ONU Femmes France Carlotta Gradin, l’architecte des bâtiments de France Vivien Chazelle, le maire de Bordeaux Pierre Hurmic, le président du département de la Gironde Jean-Luc Gleyze, etc.

18 heures à 20 h 30. Les jeunes face à l’avenir, comment relever les défis sans désespérer ? Les jeunes, et la génération Z de la fin des années 90, sont en première ligne face au changement climatique et aux catastrophes qu’il induit. Au même titre que les jeunes enfants, les femmes et les personnes âgées, ne font-ils pas partie, eux aussi, des plus vulnérables ? Pour s’éloigner du bord du gouffre, repousser l’éco-anxiété et le pessimisme ambiant, nombre d’entre eux agissent pour changer les choses : des grèves pour le climat à l’engagement dans des associations, en passant par des actions non violentes. Agir, est-ce le meilleur moyen d’atténuer le sentiment d’impuissance et d’angoisse ? Quels autres ressorts mobiliser, à l’échelle individuelle et collective, pour tenir bon ? Comment aussi mieux penser et sensibiliser dans un monde en feu ? Rencontre animée par Jonathan Bouchet-Petersen, éditorialiste à Libération, et Aurore Coulaud, journaliste spécialisée Environnement à Libération.

18 heures à 18 h 15. Inauguration. Mot d’accueil par Jean-Luc Gleyze, président du département de la Gironde, Stéphane Pfeiffer, adjoint au maire de Bordeaux, et Paul Quinio, directeur délégué de la rédaction de Libération.

18 h 15 à 19 h 15. Débat. Avec Barbara Stiegler, philosophe [signature à la Librairie] ; Achraf Manar, jeune militant et président du mouvement Destins liés ; Claire Thoury, sociologue et présidente du Mouvement associatif.

19 h 15 à 19 h 20. Edito. Le billet de Vincent Tiberj, chercheur au Centre Emile-Durkheim et professeur des universités à Science-Po Bordeaux.

19 h 20 à 20 h 20. Face à face. Bernard Cazeneuve, ancien Premier ministre ; Cécile Duflot, ancienne ministre du Logement et directrice générale d’Oxfam France et Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT (en visio). Ils échangeront avec trois jeunes : Maëlle Nizan, présidente de la Fédération des Associations Générales Etudiantes (FAGE) ; Julien Vermignon, de l’Ecole du pouvoir de vivre ; Achraf Manar, président du mouvement Destins liés ; et Pablo Leibenguth, ingénieur.

20 h 20 à 20 h 30. Grand dialogue citoyen. Conclusions de la convention citoyenne sur l’urgence climatique avec Pierre Hurmic, maire de Bordeaux.

Inscription recommandée.

10 heures à 11 h 15 : l’écologie peut-elle être populaire ? Il en va de deux interprétations possibles : la capacité de l’écologie à s’adresser aux classes populaires et de lutter contre toutes formes d’injustices et de discriminations, mais aussi celle de recueillir la plus large audience possible auprès de la population. Selon Antoine Bristielle, professeur agrégé de sciences sociales et auteur d’une tribune dans Libération, «sans justice sociale et sans lien avec les préoccupations matérielles de court terme, aucune politique environnementale de grande ampleur ne pourra être mise en place […]». Par quels moyens alors susciter l’intérêt de tous les Français pour les enjeux environnementaux ? Comment aussi leur redonner confiance dans les instances politiques touchant à ces enjeux ? Comment répondre aux besoins des classes les plus populaires ? Quelle responsabilité porte la gauche à l’heure où le Rassemblement national cherche à promouvoir une «écologie du bon sens» tournée justement vers ces mêmes classes ? Rencontre animée par Jonathan Bouchet-Petersen, éditorialiste à Libération.

Débat. Avec Vipulan Puvaneswaran, jeune militant écologiste et acteur dans le film Animal de Cyril Dion ; Noël Mamère, ancien candidat des Verts à la présidentielle [signature à la Librairie] ; Renaud Hourcade, chercheur Sciences-Po Bordeaux. Avec le témoignage de Maxence Mautray, doctorant en sociologie au Centre Emile-Durkheim (université de Bordeaux), et au laboratoire Pave (Ensap Bordeaux).

11 h 30 à 13 heures : Ecologie, mon ennemi c’est la finance ? La référence n’est pas sans rappeler le discours du Bourget de François Hollande lors de la campagne présidentielle de 2012. A l’heure où capitalisme et écologie sont vus comme d’irréductibles adversaires dans les luttes contre le réchauffement climatique, le boom de la finance verte peut-il réinventer un capitalisme durable ? Quels en sont les bienfaits mais aussi les dangers et les dérives ? La finance durable peut-elle alors contribuer à payer la transition écologique et à accélérer les mutations de l’économie réelle ? Rencontre animée par la journaliste et autrice indépendante Anne-Sophie Novel.

Débat. Avec Lucie Pinson, fondatrice de l’ONG Reclaim Finance, lauréate du prix Goldman pour l’environnement ; Pascal Pouyet, directeur général du Crédit coopératif ; Claire Eschalier de l’Institut de l’économie pour le climat (I4CE). Avec le témoignage de Vincent Gaubert en Master 1 du parcours Finance verte de l’université de Bordeaux.

14 heures à 15 h 15 : la France qui bosse : y a-t-il des gagnants et des perdants de la transition écologique ? Avec la planification écologique et la décarbonation de l’économie, le monde du travail ne sera pas épargné par un grand chambardement. Avec la rénovation des bâtiments, le boom des énergies renouvelables, la production des voitures électriques, des métiers devront disparaître quand de nouvelles compétences seront nécessaires. Comment mieux accompagner les salariés dans cette recomposition du marché de l’emploi sans laisser personne sur le bord de la route ? Rencontre animée par Maud Benakcha, journaliste à Libération.

Débat. Avec Thomas Huriez, entrepreneur engagé, auteur de la PermaIndustrie ; Dylan Ayissi, jeune militant président du collectif Une Voie pour tous ; Guillaume Pouyanne, économiste urbain et maître de conférences à l’université de Bordeaux. Avec le témoignage de Sacha Duperret, vice-président étudiant du campus de Talence à l’université de Bordeaux.

15 h 30 à 16 h 15. Masterclass de l’économiste Timothée Parrique : l’écologie peut-elle se passer de la contrainte pour atteindre la justice ?

16 h 30 à 18 heures : les femmes sont-elles les premières victimes du réchauffement climatique ? Le poids de la crise climatique accroît les inégalités et il est souvent ressenti plus durement par les femmes et les filles qui entretiennent depuis toujours une relation particulière avec la nature. Comme le rappelle l’ONU, elles sont généralement les premières «à utiliser et interagir quotidiennement avec les ressources naturelles et les écosystèmes». Et la dégradation de l’environnement impacte directement leur santé. Les études menées vont-elles en ce sens ? Peut-on affirmer que les femmes sont les plus vulnérables des vulnérables ? Rencontre animée par Maud Benakcha, journaliste à Libération.

Débat. Avec Aminata Niakate, porte-parole d’EE-LV et coautrice d’une rapport sur les femmes et le dérèglement climatique, Pascale d’Erm, autrice, journaliste et réalisatrice française [signature à la Librairie], Isabelle Rémy-Jouet, ingénieure de recherche à l’Inserm et membre du comité d’éthique, Carlotta Gradin, vice-présidente Plaidoyer d’ONU Femmes France. Avec le témoignage de Marie Busse, coprésidente du Mouvement étudiant universel féministe (M.E.U.F.).

10 h 30 à 12 heures : «Dans les coulisses de Libé» : venez à la rencontre du service photo de Libération. Comment documenter les mobilisations citoyennes ? Marche pour le climat, gilets jaunes, A69 : comment l’image peut-elle aussi raconter les mouvements sociaux ? Rencontre avec Cyril Zannettacci, photographe à Libération, Nathalie Marchetti, cheffe de service adjointe du service Photo de Libération et Véronique Figini-Veron, historienne de la photographie.

14 h 30 à 17 heures : la France qui essaie. Territoires, chercheurs, porteurs de projets, entrepreneurs, acteurs associatifs, entreprises de l’économie social et solidaire, citoyens : ils sont nombreux à concilier social et écologie. Autour du département de la Gironde, de la mairie de Bordeaux et du Pacte du pouvoir de vivre, des expérimentations locales sont testées, appliquées et ont vocation à se démultiplier partout en France : sécurité sociale de l’alimentation, rénovations thermiques, baux réels solidaires, médiateurs écologiques, laboratoires alimentaires, tiers lieux, parlements mobiles, mobilités solidaires, agricultures urbaines ou rurales. Elles apportent la preuve que d’autres modèles désirables existent, elles ouvrent une voie vers d’autres possibles. Venez découvrir des solutions concrètes. Rencontres animées par la journaliste et autrice indépendante Anne-Sophie Novel.

De 14 h 30 à 15 h 15 : Manger sain et à sa faim (la solution : Sécurité sociale de l’alimentation) autour de Stéphane Junique, président du groupe VYV, David Glory, chargé de recherche pour le collectif Acclimat’action, et Harmonie Lecerf Meunier, adjointe au maire chargée de l’accès aux droits, des solidarités et des seniors.

De 15 h 15 à 16 h 15. Contre la pauvreté : comment garantir des ressources stables et émancipatrices (la solution : Revenu d’autonomie), autour de Marie-Aleth Grard, présidente d’ATD Quart-Monde, Chaynesse Khirouni, présidente du Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle, Jean-Luc Gleyze, président du Conseil départemental de Gironde.

De 16 h 15 à 17 heures : Concilier l’accès au logement pour tous et la lutte contre l’artificialisation des terres (la solution : construire des logements abordables et une politique de sobriété foncière) autour de Maïder Ollivier de la fondation Abbé-Pierre, Rémi Guidoum de la Fondation de la Nature et de l’Homme et Angéline Broust de l’association Hameaux Légers.

20 heures : Avant-première du film la Promesse verte en présence de son réalisateur, Edouard Bergeon. Pour tenter de sauver son fils Martin injustement condamné à mort en Indonésie, Carole se lance dans un combat inégal contre les exploitants d’huile de palme responsables de la déforestation et contre les puissants lobbies industriels.

14 heures à 15 heures. Masterclass de l’ambassadeur chargé des océans et des pôles Olivier Poivre d’Arvor [signature à la Librairie] : pays du nord et pays du sud, quelle justice climatique ?

15 h 30 à 17 heures : La vie chère est-elle synonyme de malbouffe ? En deux ans, l’inflation a fait grimper les prix des courses au rayon alimentation de plus de 20 %, estime l’association Foodwatch. Difficile donc pour certains Français de conserver une alimentation saine, choisie, abordable et durable. Comment garantir l’accessibilité de produits biologiques, locaux, équitables et de qualité aux classes sociale les plus précaires ? Débat. Avec Corine Pelluchon, philosophe et professeure à l’université Gustave-Eiffel [signature à la Librairie], Nicolas Masse, chef deux étoiles de la Grand’Vigne, Yovann Pigenet, étudiant-entrepreneur, fondateur de Delivr’aide et Sylvie Colas, paysanne dans le Gers et secrétaire nationale de la Confédération paysanne. Avec le témoignage d’Hugo Lopes, président de Atena (Association territoriale des étudiants aquitains). Rencontre animée par Kim Hullot-Guiot, cheffe adjointe du services Modes de vie à Libération.

17 heures à 18 heures : Le grand entretien avec la militante Camille Etienne, la journaliste et responsable du pôle écologie du média Blast Paloma Moritz.

14 h 30 à 16 heures : Comment bien et mieux se loger sans détruire la planète ? Zéro artificialisation nette (ZAN), réaménagement du bâti existant, lutte contre la précarité énergétique… Comment loger décemment les quelque 70 millions de Français dans le respect de la biodiversité ? Débat. Avec Cécile Duflot, ancienne ministre du Logement et directrice générale d’Oxfam France, Grégoire Fraty, membre de la Convention citoyenne pour le climat, Vivien Chazelle, architecte des Bâtiments de France et Myriame Ali-Oualla, chercheuse en sciences sociales, et cheffe de projet «Living Lab Habitat résilience». Avec les témoignages d’Amélie Bourquard, maçonne terre crue de l’association Chapeau et Bottes, et de Younes Moufid, ambassadeur des transitions à l’université de Bordeaux. Rencontre animée par Aurore Coulaud, journaliste spécialisée Environnement à Libération.

16 h 30 à 17 h 45 : L’économie peut-elle être sociale et solidaire ? Une telle interrogation apparaît à bien des égards contradictoire. L’ESS représente en France un secteur en plein boom : du commerce équitable à la protection de l’environnement, en passant par la lutte contre l’exclusion. Mais solidarité, performances économiques et utilité sociale sont-elles vraiment conciliables ? L’économie sociale et solidaire peut-elle nous aider à relever les grands défis de notre temps ? A quels obstacles doit-elle faire face ? Débat. Avec Timothée Duverger, chercheur et directeur de la chaire Territoires de l’ESS (TerrESS) à Sciences-Po Bordeaux ; Fouad Ben Ahmed, militant associatif, président de Solution d’assistance à la mobilité verticale (SAMV). Avec les témoignages de quatre étudiantes en Master ESS et innovation sociale à Sciences-Po Bordeaux, à l’initiative de la coopérative étudiante ACC’ESS. Rencontre animée par Anne-Sophie Novel, journaliste et autrice indépendante.

C’est l’une des identités du Climat Libé Tour : le Parlement Génération Transition repart fort de ses apprentissages, pour cette première étape 2024. Ce sont près de 100 jeunes que nous attendons pour débattre le samedi 10 février de 10 heures à 17 heures. Sur toute une journée, des jeunes entre 13 et 25 ans sont attendus pour dialoguer avec les journalistes de Libération, les membres d’Oxfam et des élus de la mairie de Bordeaux. Au programme, trois thèmes : «Mieux habiter et se loger», «Une alimentation saine et durable pour tous» et «Avenir : la formation en jeu». Objectif : proposer des initiatives aux élus locaux et qui donneront lieu à un supplément de Libération en fin d’année. Le Parlement Génération Transition est organisé par Libération et Oxfam, avec la présence de la Forêt des possibles qui fait le point sur nos écologies intérieures et met en scène nos possibles. Inscription obligatoire.

De 14 heures à 18 heures : Venez échanger avec des associations. Vous pourrez également participer à des ateliers. D’un côté, des fresques : fresque de l’écoféminisme (par l’association M.E.U.F), fresque de l’argent (par le Crédit coopératif), fresque des inégalités (par Oxfam) et fresque du climat. De l’autre, des ateliers d’écriture et de slam comme celui proposé par Ecodoc (Université de Bordeaux) & l’association Street Def Records pour créer des rimes et des allitérations autour des mots fructification, phénologie, stress hydrique ou prédation. Tout au long de la journée, vous pourrez aussi discuter avec des porteurs de projets : le Mayday Festival, le Comptoir d’Aliénor (épicerie solidaire) ou l’association 4P Scienseas qui promeut la conservation et à la dépollution des littoraux.