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Climat LIbé Tour Paris

Les influenceurs verts, une espèce en voie d’apparition ?

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Les nouvelles figures de l’écologie, qui utilisent les réseaux sociaux pour porter leurs messages, présentent un visage plus divers que les partis politiques.
La militante Camille Etienne à Bordeaux, lors de la première étape du Climat Libé Tour 2024, en février. (Rodolphe Escher/Libération)
publié le 27 mars 2024 à 18h57

Transports, rénovation industrielle, végétalisation… En 2024, Libé informe sur les enjeux de la transition écologique lors d’une série de rendez-vous gratuits et grand public. Objectif : trouver des solutions au plus proche des territoires. Deuxième étape du tour 2024 : Paris, les 29 (soir), 30 et 31 mars (entrée libre sur inscription). Un événement coproduit avec la Ville de Paris, l’Académie du Climat et Banlieues Climat. En partenariat avec le Crédit coopératif, l’Ademe, la Fondation Jean-Jaurès, Greenpeace, Oxfam, Médiatransports, Pioche ! Magazine et Vert, le média. Entrée gratuite sur inscription.

Etre écolo sur les réseaux sociaux, c’est un peu David contre Goliath. Comment militer pour la planète et la justice sociale sur des plateformes qui ont été créées pour poster des photos de son nombril à l’autre bout du monde ? La chercheuse Erica Lippert, qui a soutenu sa thèse en Belgique sur «la mise en récit des ethos écologiques sur Instagram», sourit quand on lui parle d’écologie populaire sur les réseaux sociaux. A ce jeu-là, même Greta Thunberg, la plus connue des écologistes du globe, ne pèse pas très lourd. Avec ses 14 millions d’abo