Il sera dimanche chez Arnaud Montebourg pour la fête de la rose de Frangy-en-Bresse (Saône-et-Loire). Aux cotés de la génération des «rénovateurs», ou du moins de la jeune garde du PS proche de Ségolène Royal: Gaëtan Gorce, Aurélie Filipetti, Sandrine Mazetier, etc.
En attendant, Manuel Valls est mercredi matin dans les colonnes du Figaro. Le député-maire PS d'Evry (Essonne) estime que le Parti socialiste est «au bout d'un cycle: une grande partie des idées de gauche se sont épuisées. Pour que le PS retrouve une crédibilité, il doit être porteur d'un projet vraiment différent. […] Si nous ne changeons pas en profondeur notre logiciel, nous resterons durablement dans l'opposition».
Valls livre une série de chantiers à lancer: dire que le
«travail est une valeur, que nous ne sommes pas favorables à une société de l’assistanat»,
«tirer le bilan des 35 heures», «être le parti de l’entreprise».
«en crise»,
Le député-maire d'Evry n'exclut pas de «faire un bout de chemin avec la majorité, à condition qu'elle nous entende, sur des sujets qui peuvent faire consensus». Sans les préciser. Valls affirme également qu'il n'a pas «d'opposition de principe à des discussions de fond avec le Modem (de François Bayrou, ndlr), à condition qu'il clarifie sa positionvis-à-vis de la droite».
Alors que François Holl