Les partis politiques multiplient l'usage des clips postés sur les sites de partage de vidéos. Derniers en date, l'UMP et le PS, sur le droit d'amendement. Il y a aussi eu Ségolène Royal, à trois reprises, dans le cadre de la campagne interne pour la direction du PS puis après. Martine Aubry, pour ses vœux 2009 et le PC, pour diffuser de faux vœux de Sarkozy... Jean-Louis Missika, professeur à Science Po, décrypte l'usage, de plus en plus fréquent, de ce type de communication politique.
Quelle place prend aujourd'hui la vidéo diffusée sur le net dans la communication politique en France ?
Une place grandissante. C'est un phénomène assez classique. Avec un certain retard, la classe politique prend conscience de l'importa