-François Bayrou, une phrase pour chacun de ses détracteurs.
- «Maintenant le mot opposition, (les socialistes) considèrent que c'est un gros mot» a -t-il lancé, en direction de Martine Aubry qui dit se préférer être «proposante n°1 »plutôt qu' «opposante n°1» comme lui. «Nous considérons, non pas qu'il y a un droit d'opposition, mais qu'il y a un devoir d'opposition quand l'essentiel est en jeu. Et s'ils n'en veulent plus, nous, en tout cas, nous allons l'assumer».
- En réponse à Daniel Cohn-Bendit, qui l'a accusé de mêler les thèmes nationaux à la campagne européenne, François Bayrou a affirmé que «l'Europe, ça n'est pas Bruxelles, c'est nous, les citoyens français».
-Brice Hortefeux à propos de Bayrou: «Je ne le reconnais pas. La politique, cela doit servir à construire, pas à détruire»
«Je trouve qu'aujourd'hui son combat est placé sous l'unique signe de la destruction (...) on doit attendre de ceux qui gouvernent la construction et de ceux qui sont dans l'opposition de préparer la construction», a déploré le vice-président de l'UMP, invité de Riposte.
-François Hollande à propos de Bayrou: «Il a été de droite. Il est aujourd'hui au centre, mais il n'est pas devenu à gauche»
«Moi, je veux qu'on soit sur le changement, l'alternative, la proposition, c'est là que François Bayrou est sans doute le plus silencieux», a jugé le socialiste en parlant du livre de Bayrou "Abus de pouvoir", sorti en librairie.
- Vincent Peillon aux leaders socialistes: «Tout le monde sur le pont»
«Je conseille à tous les leaders socialistes de faire campagne avec les copains», a déclaré le tête de liste PS aux Européennes dans le Sud-Est,